L’ANGE SITAEL – LE HAYOTH HA QODEH SeYaT(EL)

L’ANGE SITAEL – LE HAYOTH HA QODEH SeYaT(EL)

 NE(E) ENTRE LE  31 MARS ET 4 AVRIL

 

VOTRE SOLEIL DE 5° À 9°59 DU BELIER

SIGNIFICATION DU SOUFFLE

L’énergie du HAYOTH Ha QODESH  SeYaT(EL) en nous, nous permet de faire face aux épreuves avec force et assurance. Elle est une source inaltérable de vitalité si nous prenons le temps de nous y abreuver. Elle est capable de raviver une lueur dans les ténèbres les plus obscures. Sa force constitue un refuge dans lequel nous pouvons nous blottir afin de nous préserver des tourments que la destinée nous réserve parfois. SeYaT EL renforce notre stabilité intérieure et nous met à l’abri des fluctuations mentales et physiques et peut par cela assurer une décision ou favoriser notre concentration.

 

(Réf : Virya1).

L’ANGE SITAEL domine sur la noblesse, la magnanimité et les grands emplois ; il nous protège contre les armes et les bêtes féroces. Nés sous cette influence nous aimons la vérité ; nous tenons parole, et nous nous faisons un plaisir d’obliger ceux qui auront besoin de nos services.

 

Le génie VASSAGO contraire génère l’hypocrisie, l’ingratitude et parjure.

 

– (Réf. : Lenain2).

  1.  Georges Lahy-Virya, LES 72 PUISSANCES DE LA KABBALE, Les mystères du Shem haMeforash, Georges Lahy, 1999.
  2. Lazare LenainLA SCIENCE CABALISTIQUE, OU L’ART DE CONNAÎTRE LES BONS GÉNIES, Édition Traditionnelles, 32 rue des Fossés Saint-Bernard 75005 Paris, Édition Nouvelles d’après celle de 1909, de l’oeuvre originale écrite par l’auteur en 1823.

Les Hayoth Ha Qodesh  sont l’incarnation vivante de la Sephirah KETHER (la couronne). En nous référant à leur arbre Séphirothique, nous constatons toutefois que SeYaT(EL) est également associé à CHESED, (Grâce). Les fonctions célestes de celui-ci seront donc colorées d’une tonique mineure jupitérienne.

 

En raison de sa coloration jupitérienne, le pouvoir, purificateur de SeYaT(EL) se révèle particulièrement efficace pour réformer en nous notre tendance à la gourmandise énergie jupitérienne pervertie par notre Ego. Or, la gourmandise consiste en cette avidité sans limite pour tout ce qui flatte nos sens, l’intellect ou encore l’esprit. L’individu gourmand dissipe ainsi toute son énergie à vaguer continuellement d’une chose à l’autre sans en discerner le sens et sans assimiler l’expérience vécue.  Ses appétits terrestres, aussi insatiables que velléitaires, le condamnent ainsi à errer sans repos sur la mer de l’existence mortelle, et les cycles constamment répétés des renaissances.

 

De son pouvoir purificateur, SeYaT(EL) sublime ces tendances négatives en infusant en nous, celui qui le sollicite, l’esprit de Vérité. Sous l‘influence lumineuse de ce séraphin, nous prenons peu à peu conscience qu’il est vain en définitive de multiplier les expériences de la vie, si celles-ci n’ont d’autre but que la satisfaction tant superficielle qu’éphémère d’une gourmandise toute extérieure. Nous comprenons alors que l’expérience terrestre est en réalité une opportunité de se rapprocher de notre divinité et de découvrir ainsi sa véritable identité.

 

 Aussi, la tradition confère à ce Séraphin le pouvoir de nous révéler certains éléments de la vie passée. Par cette révélation, SeYaT(EL) nous amène peu à peu à prendre conscience par nous-mêmes des leçons associées aux difficultés et aux épreuves auxquelles nous nous sommes vus confrontés. Nous découvrons alors la valeur exceptionnelle des expériences de la vie ainsi que la nécessité de bien en saisir le sens et d’en assimiler les leçons. Nous découvrons également que nos attitudes et nos comportements actuels sont fortement déterminés par les expériences vécues antérieurement. C’est pourquoi SeYaT(EL) est invoqué pour obtenir la libération de certains états psychiques négatifs reliés à des événements troublants vécus dans le passé. Par un profond travail de conscientisation, nous pouvons alors nous dégager progressivement des chaînes qui nous retenaient jusqu’alors captifs.

 

En tant que Hayoth Ha Qodesh, SeYaT(EL) est également chargé de révéler à chacun de nous sa raison d’être ici-bas et les divers objectifs à atteindre pour accomplir pleinement notre mission terrestre. En cela, il soutient plus particulièrement tous ceux dont le destin et les objectifs sont empreints de valeurs jupitériennes. Ainsi, ceux qui sont appelés à des activités exigeant organisation et administration, mais aussi celles en rapport avec le droit, la magistrature, la justice et les financés trouveront une aide précieuse auprès de SeYaT(EL). Il assiste de même ceux qui se consacrent plus spécialement à des préoccupations philanthropiques, diplomatiques, voire religieuses ou philosophiques.

LE HAYOT HA KODESH SeYaT

Le nom du Séraphin SeYaT(EL) est constitué d’un radical composé des lettres SaMeCh, YoD et TeTh à partir desquelles nous pouvons former (en redoublant la lettre TeTh) le mot  Tît (TeThYoD – TeTh), un terme désignant « la boue », «la vase » ou « le limon »

 

« Je les écrase comme la poussière de la’ terre ; comme la fange [tît] des nies je les broie et pulvérise. »

– 2 Samuel MU, 43

 

Quant à la particule EL elle place ce radical dans une perspective de relation, à l’Ineffable. Pour comprendre la mission particulière de ce Séraphin, voyons donc plus précisément la signification symbolique de ce mot.

 

D’un point de vue symbolique, «la boue » (« terre, poussière détrempée dans les rues, les chemins), « la vase » (« dépôt de serre et de particules organiques en décomposition, qui se ferme au fond des eaux stagnantes ou à cours lent) ou « le limon » (Terre ou fines particules, entraînées par les eaux et déposées sur le lit et les rives des fleuves) évoque l’image d’une Matière à l’état brut, informel. Toutefois, cette matière n’est pas pour autant stérile, bien au contraire. En effet, elle est saturée d’eau, un élément essentiel à toute forme de vie et que les anciens ont toujours très étroitement associé à la grâce divine qui féconde le créé. La tradition hébraïque n’y échappe d’ailleurs pas. Ainsi, 

 

« La Palestine est une terre de torrents et de sources, Jérusalem est arrosée par les eaux paisibles de Siloé. Les fleuves sont des agents de fertilisation d’origine divine, les pluies et la rosée apportent leur fécondité et manifestent la bienveillance de l’Ineffable. Sans l’eau, le nomade serait immédiatement condamné à mort et brûlé par le soleil palestinien ; ainsi l’eau qu’il rencontre sur sa route est comparable à la manne : en le désaltérant, elle le nourrit. C’est pourquoi l’eau est demandée par la prière, elle est objet de supplication. Que l’Ineffable entende le cri de son serviteur, il envoie les ondées et fait rencontrer les puits et les sources. L’hospitalité exige qu’une eau fraîche soit présentée au visiteur, que ses pieds soient lavés, afin d’assurer la paix de son repos. Tout l’Ancien Testament célèbre la magnificence de l’eau. Le Nouveau Testament recevra cet héritage et saura l’utiliser. Le Seigneur est Comparé à une pluie de printemps. (Osée VI, 3), à la rosée qui donne aux fleurs leur croissance (Osée XIV, 6), aux eaux fraîches qui s’écoulent des montagnes, au torrent qui abreuve.

 

Dès lors, en tant que terre saturée d’eau, la boue évoque la matière qui, pénétrée par la grâce divine, est remplie de ressources et de richesses. Plus précisément encore, nous savons que le mot hébreu Tît,  » la boue », s’écrit Teth – YoD – Teth. Or la lettre YoD incarne la puissance divine pleinement opérative au sein de la création. En effet, cette lettre évoque l’Ineffable en tant qu’artisan qui façonne, sculpte, modèle et cisèle Sa création de Ses mains (dont l’idéogramme évoque précisément la lettre YoD). Ainsi, la boue symbolise la matière qui, pénétrée et façonnée par la grâce divine, révèle toutes les richesses qu’elle recèle dans ses profondeurs. À ce titre d’ailleurs, l‘eau rend la terre humide et conséquemment malléable, c’est-à-dire Pleinement apte à être travaillée.

 

Dans la même perspective, un passage de la parabole des lettres citée dans le ZOHAR nous apprend que le Saint, béni-soit-il, refusa d’accorder à la lettre  TeTh l’honneur de commencer la création en lui répondant :

 

« Tu ne serviras pas à la création du monde ; d’abord parce que le bien que tu représentes est enfermé et caché en toi ; ainsi qu’il est écrit : O combien est grande l’abondance de votre bonté, que vous avez cachée pour ceux qui vous craignent ; donc le bien est réservé pour le monde futur… »

Zohar, I,3a

 

Cette lettre à laquelle est associée l’image de la boue évoque donc clairement la matière riche de potentialités (ce bien qui est enfermé et caché dans ses entrailles) et qui, par l’opération de la puissance divine (du YoD), sera promesse d’une création nouvelle.

 

Toutefois, au niveau du radical constituant le nom du Séraphin SeYaT(EL), la lettré SaMeCh est apposée aux lettres TeTh et YoD. Or, au même titre : que la lettre VaV, le SaMeCh incarne un principe d’union étroite entre deux éléments, cette union permettant l’incarnation et le déploiement de la puissance divine au sein de la Création. De Manière plus précise, SaMeCh est issu d’un ancien idéogramme représentant un poteau ou un pilier et c’est là un élément fort intéressait puisque le pilier ou le poteau (parfois évoqué par un simple tronc d’arbre ébranché et planté à même le sol) représente, pour de nombreuses traditions antiques, l’axe du monde (l’axis Mundi) qui unit le ciel (les sphères divines) et la terre (le plan matériel), assurant ainsi l’épanouissement de toute forme de vie.

 

 

En Égypte pharaonique, par exemple, il était représenté par le pilier Djed qui se dressait vers le ciel. Identifié au Nil, il était considéré par les anciens comme un canal privilégié par lequel se répandait dans le monde la force spirituelle nécessaire à sa survie.

À ce titre d’ailleurs, si la lettre SaMeCh évoque un processus de médiation, elle évoque également un maintien comme le suggère d’ailleurs le nom même de cette lettre, SaMeCh (SaMeCh – MeM KaPh), signifiant « soutien » ou « appui ».

 

« Oui certes, Dieu vient à môn aide, le Seigneur est le soutien (SaMeCh) de ma vie. »

(Psaume 54 (53), 6).

 

Ainsi, le pilier a souvent été mis en correspondance étroite avec l’arbre de vie que saint Chrysostome qualifie, dans sa sixième homélie sur Pâques, de :

 

« Ferme soutien de l’univers, lien de toutes choses, support de toute la terre habitée, entrelacement cosmique… Fixé par les clous invisibles de l’Esprit, pour ne pas vaciller dans son ajustement.au divin ; touchant le ciel du sommet de sa tête, affermissant la terre de ses pieds, et, dans l’espace intermédiaire, embrassant l’atmosphère entière de ses Mains incommensurables. ».

 

Dès lors, nous pouvons en déduire que le radical (SaMeChYoD – TeTh) évoque un processus par lequel nous plaçant en communion étroite et intime avec le Créateur, devenons un canal par lequel la puissance divine investit la matière, la pétrissant et la’ transformant pour la conduire à sa plénitude (assurant ainsi la présence divine au sein du créé). En ce sens, SeYaT(EL) nous invite à nous placer, en communion intime avec l’Ineffable, Lui offrant les ressources et les richesses dont nous disposons, celles-ci étant dès lors transmutées pour assurer le maintien de la présence divine au sein du créé.

Nous savons que les Hayoth Ha Qodesh sont l’incarnation vivante de la puissance divine qui s’exprime au sein de l’univers à travers la forme spiralée, un symbole de la vie. Plus encore, selon les hermétistes, SeYaT(EL) est associé à Jupiter. Son rayonnement sera donc coloré d’une tonique jupitérienne.

 

 Or cette planète évoque une aptitude à exalter la présence divine au sein de la création et à participer ainsi aux ressources prodigieuses qu’elle prodigue. Le principal enjeu de ce Hayoth Ha Qodesh consiste donc à nous amener à consacrer les ressources dont nous disposons au service de l’Ineffable.

Dans cette perspective, il stimule tout particulièrement notre aptitude à gérer nos richesses non plus pour nous-mêmes, mais pour les autres, développant ainsi une remarquable générosité (offrant spontanément ce que nous possédons). À ce litre d’ailleurs, l’enjeu caractérisant le mieux, l’action de ce Hayoth Ha Qodesh pourrait se résumer par l’expression :

 

« Consacrer nos ressources à rendre témoignage aux valeurs de L’Amour ».

 

Enfin, il nous aide à lutter contre l’éclatement de nos ressources entraînant diverses formes de dilapidation et de gaspillage.

 

Considérant sa tonique planétaire ; ce Hayoth Ha Qodesh est invoqué pour nous sensibiliser à l’archétype jupitérien.

Pour illustrer l’influence de SeYaT(EL) sur la conscience humaine, nous avons choisi « le conte bien connu du roi Midas » 

En effet, cette histoire décrit remarquablement bien le vice de la gourmandise que SeYaT(EL) aide à combattre. Roi de Phrygie, Midas, dont le nom est synonyme d’homme fortuné, trouva un jour dans ses champs le vieux Silène, dieu de la vigne, et lui fit bon accueil. Puis, apprenant que Dionysos recherchait son vieil ami, il lui renvoya Silène avec fastes et honneurs. Heureux de retrouver son fidèle compagnon et de constater toute l’attention avec laquelle il fut traité, Dionysos promit alors à Midas de réaliser son vœu le plus cher.

 

 Aussi, celui-ci demanda de posséder le pouvoir de transformer en or tout ce qu’il toucherait. De retour chez lui, Midas constata que son vœu était réalisé et, fou de joie, il ordonna un grand festin. Cependant, il fut vite consterné, puis horrifié. Chaque aliment ou boisson qu’il portait à sa bouche se transformait aussitôt en or ; Midas ne pouvait plus rien absorber. Il comprit alors les conséquences dramatiques de son vœu et il se vit obligé d’implorer Dionysos de lui retirer cette faveur.

 

Ce conte mythologique illustre de manière fort éloquente comment un bien, recherché sans mesure et pour lui-même, devient rapidement une mauvaise chose. En effet, la recherche d’une chose pour elle-même conduit toujours celui qui la désire vers son propre malheur. L’influence de SeYaT(EL) tempère donc le désir et le subordonne à un bien plus grand, celui de participer à la vie divine, la vertu propre des Hayoth Ha Qodesh.

L’énergie du Hayoth Ha Qodesh SeYaT(EL) nous invite à consacrer les ressources et les richesses dont nous disposons au service de l’Ineffable afin que, pénétrées par la grâce divine, elles puissent assurer le maintien de Sa présence au sein du créé. L’Ineffable étant amour, il nous invite donc plus précisément à placer nos ressources au service de l’amour, contribuant ainsi à assurer tangiblement son expression dans le monde.

 

SeYaT(EL) nous aide également à lutter contre toute tendance à utiliser les ressources dont nous disposons pour réaliser des œuvres vaines (nous incitant à satisfaire les revendications de notre ego en quête de pouvoir, d’avoir et de valoir. Nous les consacrerons donc littéralement dans une perspective mystique de sacralité et de don.

L’énergie du Hayoth Ha Qodesh SeYaT(EL) nous invite à placer les ressources dont nous disposons au service de l’autre afin de l’éveiller aux réalités de l’amour. Il nous amène ainsi à faire preuve d’une grande générosité, offrant aux autres tout ce dont nous disposons conformément à leurs besoins particuliers et aux nécessités les plus vives.

 

En outre, SeYaT(EL) nous protège également contre toute tendance à offrir à autrui nos ressources, sous le couvert d’une générosité apparente, ne cherchant en fait qu’à satisfaire notre quête de pouvoir, d’avoir et de valoir. Il nous aide en ce sens à lutter contre toute inclination à donner pour mieux assujettir et s’accaparer (acheter) les autres.

L’énergie du Hayoth Ha Qodesh SeYaT(EL) nous invite à nous consacrer à la valorisation des ressources de notre milieu, travaillant et transformant les choses qui nous entourent pour les amener à la plénitude de leur rayonnement. Nous découvrirons par la même occasion l’étonnante richesse dont nous disposons nous-mêmes dans les replis les plus intérieurs de notre être.

 

En ce sens, SeYaT(EL) contribue à nous protéger contre toute tendance à travailler la matière, non pour l’amener à sa plénitude, mais pour réaliser des œuvres vaines et illusoires (relevant de l’ego). De même, il nous amène à ne pas mobiliser nos propres ressources dans un but autre que de les mettre au service de la Matrice du monde. 

De couleur BLEU, il est associé :

 

        • Au plexus frontal – le chakra du 3e œil (Ajna chakra).

 

        • Au plexus laryngé – le chakra de la gorge (Vishuddha Chakra).

Le SAPHIR BLEU et apaisant : il traite les insomnies, soulage les migraines, calme les larmes et évacue les états dépressifs.

 

Le SAPHIR BLEU parle à l’ensemble de notre corps sur le plan cellulaire par le biais de l’acide désoxyribonucléique (ADN), porteur de notre patrimoine génétique, de notre soma et de notre mémoire ancestrale.

 

Comme le LAPIS LAZULI, il est excellent pour se mettre à l’écoute de notre corps et déceler ce qui ne va pas avant le déclenchement des maladies. C’est donc un excellent outil de prévention et de diagnostic (le chakra de la gorge (Vishuddha Chakra))

Le SAPHIR BLEU est une pierre de patience, de ténacité et de loyauté. Il convient aux gens trop pressés aux velléitaires, à tous ceux qui se conduisent comme des girouettes.

 

Le SAPHIR est aussi considéré comme la pierre de fidélité. C’est pourquoi il est un cadeau fréquent dans les rapports amoureux : c’est la Pierre idéale des fiançailles.

 

Cependant, en cas de rupture, mieux vaut rende cette Pierre à la personne qui l’a offerte, faute de quoi il serait difficile de se dégager l’esprit du lien affectif qu’elle symbolise. Une fois rendu, la pierre n’a plus alors de propriété autre que décorative et ne saurait être offerte à nouveau comme gage de fidélité. Elle pourrait même avoir des effets contraires.

Cette pierre très spirituel qui s’applique au chakra du sommet et au 3e œil, a des propriétés proches de celles de L’AZURITet de celle du LAPIS-LAZULI : spiritualité de haut niveau, développement des facultés extrasensorielles, imagination, créativité.

 

Bien que célèbre en raison de son utilisation courante en joaillerie comme pierres précieuses, le SAPHIR est plutôt méconnu en lithothérapie. Cela est regrettable car c’est une pierre remarquable. Ces applications sont tributaires des nuances de ces couleurs nous ne mentionnons ici que de les variétés les plus courantes.

LE PENTACLE DU HAYOTH HA QODEH SeYaT(EL)
Fabriqué sous son influence

 

Agit contre l’adversité du sort

 

Psaume 94 verset 22
Vayéhi Adonay Li Lemisgâv Vêlohi Letsour Mah’essi
Mais Yahvé est pour moi une citadelle, et mon Dieu, le rocher de mon refuge

La composition de l’encens du Hayoth Ha Qodesh SeYaT(EL) est déterminée par ses correspondances astrologiques. D’un point de vue technique, notons en outre que cette composition, qui est utilisée, pour l’exercice d’harmonisation varie selon le Hayoth Ha Qodesh.

 

 

L'AROMATE DE NEPTUNE - L'OEDIPE
LE BENJOIN L'AROMATE DE JUPITER

Divine SeYaT(EL),

Qui portez l’espérance à toutes les créatures,

Protégez-moi des appétits terrestres,

Aussi insatiables que velléitaires.

Qu’ils ne me condamnent plus à errer sans repos

Sur la mer de l’existence mortelle,

M’éloignant toujours plus de votre lumière.

Ô puissant SeYaT(EL),

Libérez-moi également du joug de la gourmandise,

Cette avidité sans limite qui recherche obstinément

Tout ce qui flatte les sens,

Le cœur ou la raison.

Que je n’erre plus d’une chose à l’autre,

Sans en discerner le sens véritable

Et sans assimiler l’expérience correspondante.

Faites enfin, ô SeYaT(EL), mon abri, ma forteresse,

Que je me repose en vous.

Eveillez en moi l’esprit de vérité

Par lequel je découvrirai toutes les ressources

Dont ma personnalité dispose.

Je pourrai alors les faire fructifier

Dans un profond respect des lois cosmiques

Me rappelant les paroles du Maître :

“Qui n’est pas avec moi est contre moi

Et qui n’amasse pas avec moi dissipe.”.

Qu’il en soit ainsi, Ici et maintenant

Pour le plus grand bien de tous.

Et pour célébrer la Vie.