L’ANGE YELIEL- LE HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL)

L’ANGE YELIEL- LE HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL)

 NE(E) ENTRE LE  26 ET 30 MARS

 

DE 5° À 9°59 DU BELIER  

SIGNIFICATION DU SOUFFLE

LE HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL)

LE HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL) favorise notre relation avec autrui et se pose en véritable facteur d’harmonie. Par cela, il nous préserve des agressions et des heurts en créant un champ de paix et d’équilibre autour de nous. Son évocation, à l’aide de sa prière, nous permet d’éviter les conflits et les affrontements. Cette qualité de relation avec l’autre se retrouve avec l’équilibre du foyer conjugal et, par extension dans nos relations sexuelles. Il favorise aussi tout déplacement ou voyage, ayant pour objectif la rencontre de l’autre. 

(Réf : Virya1)

 

On invoque l’Ange Séraphin YELIEL pour apaiser les séditions populaires, et pour obtenir la victoire contre ceux qui nous attaquent injustement. Ce génie domine sur les rois et les princes ; il maintient leurs sujets dans l’obéissance ; il influe sur la génération de tous les êtres qui existent dans le règne animal. Il rétablit la paix parmi les époux et la fidélité conjugale. Nés sous son influence nous avons l’esprit enjoué, des manières agréables et galantes. Nous serons passionnés par le sexe.

Le génie contraire, AGARES, domine tout ce qui est nuisible aux êtres animés. Il se plait à désunir les époux en les écartant de leurs devoirs. Il inspire le goût du célibat et les mauvaises mœurs. 

– (Réf. : Lenain2).

  1.  Georges Lahy-Virya, LES 72 PUISSANCES DE LA KABBALE, Les mystères du Shem haMeforash, Georges Lahy, 1999.
  2. Lazare LenainLA SCIENCE CABALISTIQUE, OU L’ART DE CONNAÎTRE LES BONS GÉNIES, Édition Traditionnelles, 32 rue des Fossés Saint-Bernard 75005 Paris, Édition Nouvelles d’après celle de 1909, de l’oeuvre originale écrite par l’auteur en 1823.

Les HAYOT HA-KODESCH sont l’incarnation vivante de la Sephirah KETHER (la couronne). Or nous référant à leur arbre Séphirothique, nous constatons toutefois que YeLI(EL) est également associé à BINAH (Intelligence). Les fonctions célestes de celui-ci seront donc colorées d’une Tonique mineure Saturnienne.

 

 En raison de sa coloration Saturnienne, le pouvoir purificateur de YeLI(EL) se révèle particulièrement efficace pour réformer en nous notre tendance à l’avarice et à la cristallisation, énergie saturnienne perverties par notre Ego. D’un point de vue ontologique, l’avarice est une attitude par laquelle celui est atteint cherche à assurer sa propre pérennité par l’accumulation et conservation de biens. Il s’agit ici d’une profonde illusion nous faisant croire que les choses possédées peuvent être conservées éternellement et ainsi nous octroyer ce même caractère d’éternité.  L’avarice est donc le signe d’une forte insécurité existentielle mais surtout d’une fausse perception des choses.

 

L’avaricieux se refuse vigoureusement à perdre ce à quoi il s’est attaché tout au long de son existence terrestre. Egoïstement replié sur lui-même, et profondément identifié à ses biens, il craint alors s’anéantir avec la disparition de ses possessions.  Afin de préserver l’homme dans une telle errance, YeLI(EL) permet de mieux saisir la distinction qui existe entre les choses et les états impermanents de l’existence, et la vie, qui seule, revêt un caractère de permanence.

 

Pour ce faire, il favorise donc le développement d’un juste discernement entre la vie et les formes (objets ou états) qu’elle anime. Au niveau plus profond, il permet de percevoir les choses d’un point de vue intérieur tout en nous sensibilisant à une nouvelle compréhension de l’expérience de mort, la percevant non plus dans une dimension destructrice mais dans ses aspects initiatiques et réconciliateurs. D’un point vue spiritualiste en effet, la mort entraîne une profonde modification de la conscience qui, principalement focalisée vers le monde d’en bas, illusoire et éphémère, doit dorénavant s’orienter vers celui d’en haut.  C’est pourquoi l’expérience de la mort, recherchée par les philosophes anciens, délivre symboliquement et opérativement la conscience des forces négatives et régressives, décristallisant et libérant les forces ascensionnelles de l’esprit. L’homme, ainsi régénéré, peut dès lors amorcer une véritable réconciliation avec son Père céleste.

 

En infusant à la conscience le détachement vis-à-vis des biens de ce monde, YeLI(EL) contribue ainsi à annihiler l’avarice farouche qui nous enchaîne à de tristes illusions. Savons-nous, à ce propos, qu’au moment des fêtes romaines dédiées à Saturne (les Saturnales), et dans le but de combattre cette tendance à la cristallisation et à l’indentification à des aspects extérieurs de l’être, les rapports sociaux étaient renversés : les serviteurs commandaient aux maîtres et ceux-ci servaient à table leurs esclaves ? De cette manière, les rites religieux, en accord avec l’influence de YeLI(EL), permettaient de combattre cette tendance à se cristalliser et trop s’identifier à une chose ou à un état donné.

 

Ainsi, sous l’influence bienveillante de YeLI(EL), nous reconscientisons notre état d’homme en fonctions des mondes célestes et leurs valeurs essentielles.  Nous apprenons que seul l’Amour, par sa capacité à transcender le temps et l’espace, constitue ici-bas le véritable gage de notre immortalité. L’Amour devient alors l’élixir vitae conférant l’immortalité à l’homme fatigué de son errance sur la terre.

 

De même, lorsque nous sommes obsédés par nos propres cristallisations, sombrons dans la plus profonde détresse, YeLI(EL) intervient et nous transmet la lumière des cieux dont il a la charge, afin de ramener en cette âme désespérée, l’espoir d’une nouvelle vie. Dispensant ainsi cette lumière à tous ceux qui sont aveuglément enlisés dans la fange de leur terrestréité, il n’est pas étonnant que la tradition attribue à YeLI(EL) le Psaume 22, lequel est reconnu pour ses puissants effets libérateurs.

 

En tant que Séraphin, YeLI(EL) est également chargé de nous révéler à chacun notre raison d’être ici-bas et les divers objectifs à atteindre pour accomplir pleinement notre mission terrestre. En cela, il soutien plus particulièrement ceux dont le destin et les objectifs sont appelés à des activités de valeurs Saturniennes. Ainsi, appelés à des activités de responsabilités nécessitant une profondeur de pensée et une maturité d’esprit mais aussi une capacité à relativiser, trouverons une aide précieuse auprès de YeLI(EL).  Il nous assiste de même quand nous nous consacrons plus spécialement aux travaux de la terre, aux constructions ou aux activités minières. Enfin, l’étude des sciences abstraites, de la philosophie et de la religion est aussi favorisée par YeLI(EL).

 

LE HAYOT HA-KODESCH YeLI

Le nom du le HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL) est constitué d’un radical composé des lettres YoD, LaMeD et YoD qui ne forment entre elles aucun mot hébreu significatif. Pour cerner l’enjeu propre à ce HAYOT HA-KODESCH, nous devrons donc à nouveau focaliser toute notre attention sur l’analyse symbolique des lettres présentes au sein de ce radical. Or nous savons, que la lettre YoD est issue d’un ancien idéogramme représentant un bras prolongé par une main. Quant à la lettre LaMeD, elle est issue d’un ancien : idéogramme représentant une aiguillon par lequel les conducteurs de bœufs guidaient autrefois leurs troupeaux, leur indiquant ainsi le chemin à suivre et les voies à ne pas emprunter. Voyons donc ce que nous pouvons tirer de la juxtaposition de ces entités symboliques.

 

En ce qui concerne tout d’abord la lettre YoD, elle se réfère à l’idée d’une main, d’autant plus que la main s’écrit yad (YoD – DaLeTh), un terme très proche du mot YoD (YoD – VaV – DaLeTh). Or le mot hébreu yad évoque également la force et la puissance. La main a d’ailleurs toujours été un symbole privilégié pour évoquer la puissance comme nous l’avons fréquemment rappelé. Dans cette perspective, elle évoque évidemment la puissance divine qui vient à notre rencontre tant pour nous affermir dans ce que nous sommes que pour nous transformer.

 

Quant à la lettre LaMeD, son nom (LaMeDMeM – DaLeTh) signifie littéralement instruire, enseigner ou apprendre. Plus encore, l’aiguillon (correspondant à l’ancien idéogramme dont la lettre est issue) fut souvent associé, dans la tradition hébraïque, à l’image du maître (du pasteur) instruisant (aiguillant !) ses disciples (le troupeau) sur le chemin les amenant à atteindre leur pleine réalisation. Ainsi, l’Ecclésiaste nous rapporte que :

 

 » Les paroles du sage sont comme des aiguillons et comme des piquets plantés par les maîtres de troupeaux. « . –

– Ecclésiaste XII, 11.

 

L’aiguillon est donc traditionnellement un outil associé à la fonction de guide et devient le moyen privilégié pour conduire l’homme sur la voie de son accomplissement.

 

Dès lors, lorsque le YoD mobilise le LaMeD, il évoque un processus par lequel renonçant à toute volonté de puissance égoïque (exclusivement centrée sur une quête de valoir, de pouvoir ou d’avoir) nous nous plaçons désormais dans la dynamique de notre vocation profonde (LaMeD). De manière plus précise, il évoque un processus de lâcher-prise par lequel nous renonçons à nos propres aspirations égoïques pour désormais se laisser guider par Dieu (24). Or nous laisser guider par Dieu (24) consiste à suivre les lois et les préceptes qu’il nous enseigne, à assumer les limites dans lesquelles Il nous a établi et à marcher sur le sentier où il nous invite. En ce sens, le HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL) nous amène à nous laisser guider par la puissance des deux mains divines, celle qui soutient et celle qui transforme en nous plaçant évidemment au service de l’Amour. Il nous exhorte ainsi à ne plus disposer de notre temps et de la situation que nous occupons pour accomplir des œuvres vaines (satisfaisant les revendications de notre ego en quête de pouvoir, d’avoir et de valoir), mais pour servir l’amour.

 

En d’autres termes, le HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL) nous invite à consacrer notre temps à l’être aimé. Dans une perspective plus mystique, il nous invitera donc à consacrer son temps à Dieu (24). Ainsi,

 

« Le temps de l’oraison doit être considéré comme une mort, comme un don, le temps donné. Il faut mourir à notre égoïsme. Si vraiment nous n’avons rien à donner à Dieu, disons-lui :

« Je te donne du temps, je perds le temps, il est pour toi. »

Car Dieu mérite bien que nous lui donnions du temps. Et que voulez-vous lui donner de plus foncier ? Le temps est la trame même de l’existence. Toute notre activité est brodée en quelque sorte sur la trame même du temps. Je donne le temps, je meurs à cette activité brodée sur la trame du temps. À certains jours, nos soucis sont tels que nous avons beaucoup de peine à parler à Dieu (24). La question n’est pas tellement de lui parler ; à la base, elle est de donner du temps. Vous venez ici pour donner du temps à Dieu (24). Ce don du temps, il faut le renouveler au début de chaque oraison. On peut dire à Dieu :

« Si vraiment je n’ai aucune joie sensible à être en contact intime avec toi, il y a au moins ce fait que, l’essentiel y est : le temps est donné. » ».

– Varillon, François, Vivre le Christianisme, Bayard Éditions / Centurion, Paris, 1992.

 

Ces propos peuvent évidemment s’inscrire tout autant dans le cadre d’une relation horizontale à l’être aimé.

  • 24 – Dieu (Dies=jour – la lumière) Jean-Yves Leloup

Nous savons que les HAYOT HA-KODESCH sont l’incarnation vivante de la puissance divine qui s’exprime au sein de l’univers à travers la forme « spiralée », un symbole de la vie. Plus encore, selon les hermétistes, YeLI(EL) est associé à Saturne : Son rayonnement sera donc coloré d’une tonique saturnienne. Or cette planète évoque notre aptitude à découvrir nos limites existentielles et à les assumer pleinement. Le principal enjeu de ce HAYOT HA-KODESCH consistera donc à nous amener à consacrer notre condition existentielle au Service de Dieu.

 

Dans cette perspective, il stimule tout particulièrement notre aptitude à utiliser sans compter le temps dont nous disposons, évitant toutefois de l’employer pour satisfaire les revendications de notre Ego. Â ce titre d’ailleurs, l’enjeu caractérisant le mieux l’action de ce HAYOT HA-KODESCH pourrait se résumer par l’expression :

 

 » Consacrer notre temps à rendre témoignage aux valeurs de l’amour « 

 

Enfin, il nous assistera pour lutter contre l’éclatement du temps suscitant diverses formes de finitude (lorsque, le temps ne s’inscrit plus dans la dynamique de l’amour, il devient, singulièrement limité).

 

 Considérant sa tonique planétaire, ce HAYOT HA-KODESCH sera invoqué pour nous sensibiliser à l’archétype saturnien.

Pour illustrer l’influence de YeLI(EL) sur la conscience humaine, nous avons choisi un conte appartenant à la tradition médiévale.

En effet, cette histoire décrit remarquablement bien le vice de l’avarice contre lequel ce HAYOT HA-KODESCH lutte et triomphe. Elle nous présente donc un homme d’une avarice extrême qui découvrit un jour une pépite d’or au pied d’un chêne. Il fut si émerveillé par son pur éclat et par sa taille peu ordinaire qu’il voulut s’en saisir.

 

Mais l’arbre semblait, par ses racines, retenir le précieux bien. Le vieil avare ne voulut pas cependant abandonner son trésor et s’assit près de l’arbre. Il resta ainsi pendant des jours et des jours, convoitant la pépite et refusant de s’en détacher. Et progressivement ses yeux prirent la teinte de l’or qu’il contemplait et son corps prit la couleur brune du marécage dans lequel il se trouvait. Le riche devint alors un affreux crapaud qui alla s’enfouir sous les racines de l’arbre juste à côté de la pépite d’or.

 

Le symbolisme de ce conte est fort explicite. En effet, le crapaud a toujours représenté des aspects maléfiques et ténébreux. Plus encore, lié à l’eau, la tradition l’a étroitement associé aux plus basses émotions. Dans ce conte, il incarne l’archétype de la cupidité et de l’avarice. Ainsi, le riche se laissa tellement subjuguer par son vice qu’il s’y identifia totalement. Sa personnalité aveugle se cristallisa alors en sacrifiant à l’avarice son humanité et toutes les valeurs qui la sous-tendaient.

 

 Or le HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL) prévient l’être humain de ce triste destin en l’incitant à se repositionner en fonction des mondes célestes et de leurs valeurs essentielles.

SUR LES TROIS PLANS DE L’ÊTRE

L’énergie du HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL) nous conduit à consacrer notre temps au Divin, Lui permettant ainsi d’être présent au sein de notre vie. En effet, il nous invite à placer le temps dont nous disposons au service de l’Amour, assurant plus tangiblement Sa présence au sein du créé.

Par ailleurs, YeLI(EL) nous aide également à lutter contre toute tendance à disposer de notre temps et de la situation que nous occupons pour réaliser des œuvres vaines, nous incitant à satisfaire les revendications de notre ego en quête de pouvoir, d’avoir et de valoir.

L’énergie du HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL) nous incite à mettre notre temps au service de l’autre en vue de l’éveiller aux réalités de l’Amour. il nous amène ainsi à faire preuve d’une grande disponibilité face aux besoins d’autrui, réservant toujours le temps nécessaire afin de l’écouter, de l’assister et de le guider adéquatement.

 

En ce sens, YeLI(EL) nous protège contre toute tendance à consacrer du temps à l’autre pour nous-mêmes. En effet, il nous aide à lutter contre cette inclination à nous rendre disponible à l’autre non pour l’écouter, mais pour nous écouter, non pour l’aider mais pour passer à travers une situation que nous assumons mal.

L’énergie du HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL) nous sommes conduits à consacrer une partie du temps dont nous disposons pour rétablir le cadre dans lequel s’inscrit notre existence dans sa dimension profondément sacrée, lui donnant pour ce faire une coloration métaphysique et spirituelle. Autrement dit, nous prendrons conscience du rôle ontologique qui nous revient de consacrer un peu de notre temps à garder le jardin qui nous a été confié.

En ce sens, il contribue également à nous protéger contre toute tendance à mésestimer ou profaner la condition existentielle dans laquelle nous avons été placé, cherchant à dilapider notre temps en l’employant pour réaliser des œuvres vaines et illusoires (relevant de l’ego).

De couleur rose violacée, elle est associée :

  • Au plexus frontal – le chakra du 3° œil (Ajna chakra).

SUR LE PLAN PHYSIQUE

  • Organes et fonctions associés :  L’estomac, la digestion.

 

  • De par ses facultés de tempérance, la Kunzite convient bien aux enfants turbulents.

SUR LE PLAN EMOTIONNEL ET MENTAL

 

  • Rose violacée, la Kunzite est un excellent compromis entre le traitement des affections d’ordre émotionnel et la compensation des carences en matière de spiritualité.

 

  • La Kunzite est une pierre pleine de tendresse et de pureté, presque timide, qui stimule le cœur et l’esprit durant la nuit. Pendant le sommeil, elle procure des rêves amoureux très doux. On évitera de l’exposer à la lumière du jour, elle risque de pâlir.

 

  • C’est aussi une pierre qui rééquilibre le mental et calme les émotions lors d’une période de chagrin consécutive à une peine amoureuse (Chakra du Cœur).

 

 

SUR LE PLAN SPIRITUEL

 

  • Une méditation avec une Kunzite placée au Chakra du Troisième Œil clarifie l’esprit, défait les nœuds émotionnels et permet d’atteindre une sérénité durable. Elle prépare l’esprit avant une séance de communication télépathique.

 

  • La Kunzite facettée est un bijou merveilleux dont la limpidité sans défauts et l’éclat exceptionnel font rayonner une infinie douceur autour de soi.

 

LE PENTACLE DU HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL)

Fabriqué sous son influence

 

Protège des agressions

 

Psaume 22 verset 20

Ve’attâh Adonay’ Al-tirh’âq ‘Eyâlouthiy Le`ezrâthiy H’oshâh

Et toi, Éternel, ne t’éloigne pas! Toi qui es ma force, viens en hâte

La composition de l’encen du HAYOT HA-KODESCH YeLI(EL) est déterminée par ses correspondances astrologiques. D’un point de vue technique, notons en outre que cette composition, qui est utilisée, pour l’exercice d’harmonisation varie selon le HAYOT HA-KODESCH.

L'AROMATE DE NEPTUNE : L'OEDIPE
LE STORAX AROMATES DE SATURNE

Divin YeLI(EL),

Qui louez Celui qui est secourable,

Apprenez-moi à mieux discerner la vie

Des formes qu’elle anime,

Pour cultiver ainsi le détachement

Vis-à-vis des biens de ce monde.

Les oiseaux ne sèment ni ne moissonnent,

Ils n’ont ni cellier ni grenier,

Et pourtant Dieu les nourrit.

Pourquoi m’inquiéterai-je en disant:

Que vais-je manger ?

Que vais-je boire ?

De quoi vais-je me revêtir ?

Tout cela, les insensés le recherchent sans répit

Mais il sait bien, mon Père céleste,

Que j’ai besoin de toutes ces choses.

Ô puissant YeLI(EL),

Ne soyez pas loin de moi.

Mais hâtez-vous de venir à mon aide.

Que je reconscientise mon état

En fonction des mondes célestes

Et de leurs valeurs essentielles.

Sous vos divins auspices,

Faites, ô YeLI(EL), ma force,

Que je reconnaisse que l’amour,

Par sa capacité à transcender le temps et l’espace,

Constitue mon seul gage d’immortalité.

Qu’il en soit ainsi, Ici et maintenant

Pour le plus grand bien de tous.

Et pour célébrer la Vie.