SIGNIFICATION DU SOUFFLE

LE MALAKIM MIaH(EL)

L’énergie du Malakim MIaH(EL) maintient en permanence en nous un point d’équilibre entre notre masculin et notre féminin. À l’inverse, si le masculin et le féminin sont en parfaite harmonie, MIaH(EL) libère toute sa puissance afin d’accorder aux deux éléments réunis une énergie considérable qui nous permettra d’accomplir leurs deux volonté Réunies. La prière à MIaH(EL) nous permet de réaliser tous les projets de couple, si les deux parties sont en parfaite harmonie quant à ce but.

 

– (Réf : Virya1)

 

L’Ange Puissance MIHAEL sert pour conserver la paix et l’Union entre les époux. Il protège tous ceux qui ont recours à lui ; ils auront des pressentiments et des inspirations secrètes surtout ce qui leur arrivera. Il domine sur les générations des êtres, et il influe sur l’amitié et la fidélité conjugale. Né(e) sous son influence nous serons passionnés par l’amour ; nous aimerons la promenade et tous les plaisirs en général.

Le génie contraire HAAGENTI, l’ombre de MIHAEL, domine sur le luxe, la stérilité et l’inconstance ; il met la discorde entre les époux, et cause la jalousie et l’inquiétude.

 

-(Réf. : Lenain2)

 

  1.  Georges Lahy-Virya, LES 72 PUISSANCES DE LA KABBALE, Les mystères du Shem haMeforash, Georges Lahy, 1999.
  2. Lazare LenainLA SCIENCE CABALISTIQUE, OU L’ART DE CONNAÎTRE LES BONS GÉNIES, Édition Traditionnelles, 32 rue des Fossés Saint-Bernard 75005 Paris, Édition Nouvelles d’après celle de 1909, de l’oeuvre originale écrite par l’auteur en 1823.

Les Malakim sont l’incarnation vivante de la Sephirah Tiphereth (Plan Causal). Or Tiphereth, nous l’avons vu, se manifeste sur le plan matériel sous l’apparence du Soleil. Aussi, la tradition kabbalistique attribue à l’Ange Malakim MIaH(EL) au même titre qu’à toutes les autres Malakim une tonique majeure Solaire.

Plus encore, en nous référant à l’arbre Séphirothique des Malakim, nous constatons que MIaH(EL) est également associée à Yesod (Fondement). Les fonctions célestes de MIaH(EL) seront donc colorées d’une tonique mineure Lunaire. Ainsi, la fonction principale de l’Ange Malakim MIaH(EL) : 

 

    • Éveiller en notre Être notre capacité à gouverner (tonique majeur Solaire), s’exercera dans un contexte fortement imprégné de valeurs Lunaires.

 

En raison de sa coloration Lunaire, le pouvoir de MIaH(EL) se révèle donc particulièrement efficace pour nous apprendre à gouverner et à diriger avec beaucoup de réceptivité, de douceur et de compassion. Ainsi illuminés nous ferons preuve également d’un sens remarquable de l’adaptabilité face aux difficultés. De même, MIaH(EL) nous aide à lutter contre l’incertitude, le doute et la remise en cause perpétuelle de nos responsabilités. Si nous éprouvons des difficultés à assurer notre autorité, nous trouveront également auprès de cette Malakim l’appui et le soutien nécessaires pour résoudre un tel problème.

 

La tradition initiatique nous précise que les CHAUSSES pourpres sont la tribu du roi en rapport avec les énergies lunaires de ce Malakim . La tradition affirme à ce propos, que le simple toucher du pied d’un roi féconde la terre. Aussi les pieds du roi, ayant un caractère sacré, étaient toujours chaussés de brodequins précieux. Les pieds représentent symboliquement l’appui, le fondement sur lequel repose tout être. Ils sont en outre le symbole de la direction qu’il donne à son œuvre.

Dans la science kabbalistique, Lenain écrit à propos de MIaH(EL) : 

 

 » il sert pour délivrer les âmes du purgatoire, pour acquérir les biens spirituels et temporels, et pour avoir tes révélations en songe. Il faut que la demande soit agréable à Dieu. « .

 

MIaH(EL) est donc invoquer par les occultistes afin de libérer ceux qui, décédés mais pourtant encore rattachés à la matière par le fait de certains vices particuliers, continuent de hanter une maison ou une personne. Aussi, pendant la cérémonie de sépultures, il est bon de prier MIaH(EL) afin qu’il assiste le défunt lors de son séjour dans le bas astral, le purgatoire de la tradition chrétienne.

 

L’est à souligner que si les occultistes se sont toujours opposés à la peine de mort, c’est non seulement en raison de leur profond respect pour la vie, mais également en raison du fait qu’un criminel est plus dangereux mort que vivant. En effet, la mort ne modifiant pas le caractère d’un individu, le bas astral se retrouve ainsi habité par des entités humaines aux humeurs vengeresses. A ce niveau, MIaH(EL) peut nous servir de protecteur, quand nous ressentons les influences négatives provenant du monde des morts. MIaH(EL) est également utile à tous ceux pour qui la perception des mondes invisibles est une cause d’obsession ou de peur.

D’un point de vue initiatique, le Malakim MIaH(EL) favorise la dissolution des vices et des habitudes karmiques. Étant l’un des messagers de la miséricorde divine, il nous libère de tous les liens karmiques nous reliant à l’ancien monde et nous intronise dans une nouvelle vie. MIaH(EL) favorise enfin l’union du couple, représentation symbolique de l’hermaphrodisme spirituel par la voie du tantrisme. Dans notre vie, il nous accorde une juste relation avec notre conjoint si nous sommes mariés, et nous éveille la polarité complémentaire si nous sommes célibataires.

LE MALAKIM MIaH(EL)

Le nom du Malakim MIaH(EL) est constitué d’un radical composé des lettres MeMHe et YoD à partir desquelles nous pouvons composer le mot haym הימ (He –YoD –MeM) signifiant « être bruyant », « gémir », « troubler » ou « bouleverser ». Dans la même perspective, nous retrouvons le terme hemîah המיה (He – MeM –YoD –He) signifiant « bruit » ou « gémissement » et le mot hehîm ההימ (He – He –YoD –MeM) signifiant « faire du bruit » ou « causer du trouble ». Enfin, citons la présence, au niveau du radical, du mot Yam מי (YoD –MeM) désignant la « mer ». Quant à la particule EL, elle place ce radical dans une perspective de relation à l’Ineffable. Pour saisir la signification profonde et l’enjeu auquel ce Malakim se réfère, entreprenons donc l’analyse symbolique des mots précédemment cités.

 

À propos tout d’abord du « bruit » (et de ses dimensions corollaires « être bruyant » ou encore « faire du bruit »), nous savons qu’il s’agit essentiellement d’une puissance d’expression. En effet, celui qui fait du bruit s’exprime et se manifeste, la force du bruit étant généralement proportionnelle à son désir d’expression. Ainsi le bruit peut être chez l’enfant un moyen de manifester sa présence pour montrer aux autres qu’il existe. Dans les textes bibliques, Dieu Lui-même manifeste parfois sa présence par le bruit. Ainsi, lorsque David consulta IHVH pour combattre les Philistins, le Seigneur lui répondit :

 

« Ne les attaque pas en face, tourne-les par-derrière et aborde-les vis-à-vis des micocouliers. Quand tu entendras un bruit de pas à la cime des micocouliers, alors dépêche-toi : c’est que le Seigneur sort devant toi pour battre l’armée philistine. « . 

– 2 Samuel V, 23-24.

 

Le prophète Ézéchiel rapporte également :

 » Il me conduisit vers le porche, le porche qui fait face à l’orient, et voici que la gloire du Dieu d’Israël arrivait du côté de l’orient. Un bruit l’accompagnait, semblable au bruit des eaux abondantes, et la terre resplendissait de sa gloire. « .

– Ézéchiel XLIII, 1-2.

 

Enfin, c’est également avec grand bruit que l’Esprit Saint se manifesta aux apôtres :

 

 » Le jour de la Pentecôte étant arrivé, ils se trouvaient tous ensemble dans un même lieu, quand tout à coup, vint du ciel un bruit tel que celui d’un violent coup de vent, qui remplit toute la maison où ils se tenaient. Ils virent apparaître des langues qu’on eût dites de feu ; elles se partageaient, et il s’en posa une sur chacun d’eux. « .  

– Actes II, 1-3.

 

Toutefois, le bruit contient en lui-même une certaine dynamique comme le suggère d’ailleurs éloquemment le mot haym הימ (He –YoD –MeM) qui signifie à la fois « être bruyant », « gémir », « troubler » et « bouleverser » ou encore le mot hehîm ההימ (He – He –YoD –MeM) signifiant « faire du bruit » ou « causer du trouble ». En fait, le bruit trouble l’ordre établi, il brise le silence pour instaurer une dynamique nouvelle. Il est donc rupture, cassure ou choc. Ainsi, il pourrait évoquer l’expression d’une puissance visant à remettre en cause un certain ordre établi. En fait, nous pouvons déjà en déduire que le Malakim MIaH(EL) nous invite à prendre conscience de l’importance de nous ouvrir et d’incarner (de rendre concrète et tangible) la puissance présente au plus profond de nous-mêmes (celle qui relève de notre essence) en l’exprimant désormais pleinement à travers la réalité tangible, cette expression pouvant faire « grand bruit » en venant troubler un silence mortifère.

 

En effet, l’homme qui étouffe en lui l’expression de sa nature véritable en la plaçant sous l’emprise de son ego, ignore ce qu’il est profondément.

 

 » Cette ignorance fustigée et traquée par Socrate est précisément cette même ignorance que la civilisation industrielle moderne cherche, par tous les moyens – notamment le silence – à engendrer et généraliser : cette ignorance est celle de “la nature réelle” de l’homme. Cette ignorance, dit Socrate est si grande que lorsque l’homme prie Dieu, il ne doit surtout rien lui demander de précis, car, justement l’homme ignore ce qui est bon pour l’homme. Aussi, la prière conseillée par Socrate était-elle simplement celle-ci : “Donnez-moi ce qui est bon pour moi”. Le constat de cette ignorance induit d’ailleurs chez le philosophe une indulgence immense. “Nul n’agit mal volontairement”, affirmait Socrate mais tous agissent par ignorance.

« Cette indulgence préfigure celle du Christ disant : “Père, par-donne-leur ; car ils ne savent pas ce qu’ils font” (Luc XXIII, 34). Quant à notre temps, il est patent que l’homme d’aujourd’hui, alors qu’il se fait le serviteur des valeurs économiques de la civilisation industrielle, est totalement ignorant de ce qu’il fait, ayant oublié, ou n’ayant jamais appris, que l’homme est bien autre chose que ce qu’on lui a enseigné. ». 

– Fromaget, Michel, Corps, Âme, Esprit, Introduction à l’anthropologie ternaire, Albin Michel, Paris, 1987.

 

En ce sens, ignorant ce qu’il est profondément, l’homme se tait ou adhère aux valeurs banalisantes que l’ego ou sa corollaire la Matrice du monde lui ont enseignées (se perdant ainsi dans la masse). Dans les deux cas, il ne fera pas grand bruit. Seul l’éveil de son esprit (de son essence unique, réelle et véritable) pourra venir troubler ce silence opaque et épais qui l’étouffe et l’aliène.

 

Sur un plan supérieur, MIaH(EL) nous invite par ailleurs à rayonner (à exprimer) la lumière de l’Esprit (la puissance de l’Amour Indicible), conduisant ainsi le monde vers sa totale transmutation. À ce titre, nous avons déjà mentionné, au niveau du radical composant le nom de ce Malakim , la présence du terme Yam מי (YoD –MeM) désignant la « mer ». Plus encore, la lettre He s’insère au cœur (au centre) de ce mot dans le radical. Or nous savons que cette lettre évoque le souffle de l’Esprit. Dès lors, MIaH(EL) incarne l’image d’une mer investie par le souffle de l’Esprit. Si cette image peut sembler bien mystérieuse, elle s’éclaire cependant dans la mesure où l’on sait que la mer symbolise, en raison de son étendue sans limite, de son gouffre apparemment sans fond, de sa mouvance et de son instabilité, le monde non encore pleinement accompli. En fait, elle évoque le monde actuel en tant qu’état gestatif précédant une création nouvelle : celle à laquelle saint Paul fait allusion lorsqu’il déclare :

 

 » La création en attente aspire à la révélation des fils de Dieu : si elle fut assujettie à la vanité – non qu’elle l’eût voulu, mais à cause de celui qui l’y a soumise, – c’est avec l’espérance d’être elle aussi libérée de la servitude de la corruption pour entrer dans la liberté de la gloire de Dieu. Nous le savons en effet, toute la création jusqu’à ce jour gémit en travail d’enfantement.  » 

– Romains VIII, 19-22

 

Dès lors, cette image d’une mer insufflée par l’Esprit nous révèle l’enjeu du Malakim MIaH(EL) : nous amener à favoriser ce travail d’enfantement en exprimant au sein de la création la puissance de l’amour dont nous sommes investis (He) afin qu’elle puisse entrer, selon les mots de l’apôtre,

 

«  Dans la liberté de la gloire de Dieu ». Le Christ a d’ailleurs admirablement insisté sur cette nécessité lorsqu’il déclara à ses disciples : « Vous êtes la lumière du monde. Une ville ne peut se cacher, qui est sise au sommet d’un mont. Et l’on n’allume pas une lampe pour la mettre sous le boisseau, mais bien sur le lampadaire, où elle brille pour tous ceux qui sont dans la maison. Ainsi, votre lumière doit-elle briller devant les hommes afin qu’ils voient vos bonnes œuvres et glorifient votre Père qui est dans les cieux. « . 

– Matthieu V, 14-16.

Nous savons que les Malakim sont étroitement associées à l’archétype du Soleil. La tradition kabbalistique attribue donc à MIaH(EL) (au même titre qu’à toutes les Malakim ) un enjeu essentiellement solaire consistant à se centrer sur notre essence profonde pour en rayonner pleinement la puissance dans le monde.

 

Plus encore, selon les hermétistes, MIaH(EL) est également associé à la Lune. Son rayonnement sera donc coloré d’une tonique mineure lunaire. Or cet astre évoque une aptitude à nous ouvrir aux réalités du monde d’en haut (les réalités archétypales) par le biais d’un ressenti et en nous faisant matrice pour les incarner et les rendre effectives au sein de la création.

Le principal enjeu de ce Malakim consiste donc à nous aider à nous ouvrir aux valeurs de notre essence profonde en nous appuyant sur notre ressenti et à rayonner la puissance qui en découle, les rendant ainsi tangibles et effectives au sein du créé.

Dans cette perspective, MIaH(EL) nous aide non seulement à ressentir en nous nos valeurs véritables et à les distinguer de celles qui ne le sont pas, mais il nous amène également à ressentir instinctivement dans notre environnement immédiat les éléments adéquats qui nous permettent de concrétiser ce que nous sommes au plus profond de nous-mêmes. Il nous confère en outre une aptitude à faire preuve de tempérance, d’écoute et de réceptivité dans l’exercice de notre autorité. De même, il nous amène à lutter contre toute tendance à nous percevoir exclusivement à travers la mouvance d’un ressenti profondément teinté par l’environnement. Il nous aide enfin à combattre tout complexe d’infériorité (nous amenant à remettre constamment en doute nos capacités) ou tout complexe de supériorité (nous conduisant à développer des ambitions démesurées), ces deux attitudes résultant d’une profonde méconnaissance de soi.

 

Considérant ses toniques planétaires, ce Malakim est invoquée pour exalter, au niveau de notre thème astrologique, tout aspect consonant entre le Soleil et la Lune ou pour harmoniser tout aspect dissonant entre ces deux astres.

Pour illustrer l’influence du Malakim MIaH(EL) sur la conscience humaine, nous avons choisi le conte « du compagnon de voyage » de Hans Christian Andersen. 

Ce conte rapporte qu’un jour, suite au décès de son père, un jeune homme du nom de Jean se retrouva dans la rue avec, pour toute fortune, quelques écus d’or. Par sa bonté toutefois, il sut se lier d’amitié avec un étrange individu qui devint dès lors son compagnon de voyage. Un jour, il apprit qu’une princesse offrait sa main à n’importe quel jeune homme qui saurait répondre aux trois questions qu’elle lui poserait.

 

Cette princesse était toutefois aussi belle que cruelle et punissait de mort tous ceux qui échouaient. Elle était en fait sous l’emprise d’un horrible sorcier chez qui elle se rendait toutes les nuits. Avec le concours de son compagnon de voyage, Jean réussit cependant à répondre aux trois questions que demandait la princesse. Celle-ci, désensorcelée, lui fut une fidèle épouse.

 

Dans ce conte, le Malakim MIaH(EL) est représentée par le compagnon de voyage qui assista Jean pour répondre correctement aux trois questions que lui posa la princesse et ainsi désensorceler cette dernière. Sur le plan symbolique, c’est trois questions représentent les trois gardiens du seuil que nous devons affronter. Ils sont la concrétisation de nos actes (plan physique), de nos émotions (plan astral) et de nos pensées (plan mental) négatifs que nous avons à gérer durant notre incarnation et dans toutes les existences antérieures. Par sa beauté, sa compassion, mais également par sa grande maîtrise de lui-même Jean (l’esprit) a vaincu les trois gardiens et a ainsi délivrer la princesse (l’âme) de l’emprise de la Matrice de ce monde (le sorcier). Désensorcelée, elle s’est alors unie à lui (image des noces intérieures de l’initiation).

SUR LES TROIS PLANS DE L’ÊTRE

L’énergie du Malakim MIaH(EL) nous invite à rayonner notre véritable nature dans une œuvre tangible. Ainsi, il nous amène à réaliser que l’expression de ce que nous sommes passe nécessairement par une concrétisation au sein de notre milieu. Il nous fait également, ressentir instinctivement les éléments adéquats de notre environnement qui nous permettent de concrétiser ce que nous sommes au plus profond de nous-mêmes.

 

Par ailleurs, MIaH(EL) contribue à nous protéger contre toute inclination à n’exprimer que les valeurs purement égoïques que nous ressentons en nous-mêmes, celles-ci ne contribuant qu’à nous enfermer encore davantage sous l’emprise de la Matrice de ce monde.

L’énergie du Malakim MIaH(EL) nous conduit à incarner au sein de notre relation les valeurs que nous portons en nous (cette relation s’inscrivant toujours dans une dynamique où la simplicité et la transparence prévalent). Autrement dit, il nous invite à exprimer ce que nous pensons et ressentons le plus parfaitement possible, sans hypocrisie d’aucune sorte, dans notre attitude comme dans notre comportement.

 

Par ailleurs, MIaH(EL) nous protège contre toute forme d’instabilité, ayant alors tendance à ne pas savoir nous centrer durablement sur nos propres valeurs dans notre relation, mais à adopter celles de notre partenaire (même si elles nous sont pourtant ontologiquement étrangères). En ce sens, il nous aide à combattre toute forme d’influençabilité.

 

L’énergie du Malakim MIaH(EL) nous invite à nous centrer sur notre essence (pour rayonner par la suite Sa puissance) par le biais de notre ressenti, sachant ainsi nous ouvrir à Sa lumière et l’incarner pleinement en Être.

De même, MIaH(EL) nous protège contre toute tendance à nous laisser trop facilement illusionner et manipuler par la Matrice du monde, ne rayonnant plus la puissance divine (celle de l’Amour Indicible), mais des forces perverses qui ne se concrétiseront ultimement que par le biais d’œuvres nébuleuses et chimériques.

 

De couleur Verte, elle est associée :

 

SUR LE PLAN PHYSIQUE

Les propriétés physiques du JASPE VERT concernent la guérison et plus spécifique spécifiquement, la restauration les tissus, en particulier pour les organes internes. De surcroît, il est utilisé pour traiter les troubles des voies digestives et urinaires.

Mais également pour stopper les saignements de nez, réduire le gonflement des hémorroïdes, traiter la goutte, améliorer l’odorat et calmer l’épilepsie. Enfin, cette gemme miraculeuse a le don d’équilibrer la teneur en minéraux de l’organisme.

 

  • Comment l’utiliser ?

 

  • Porter en bijou sur la zone affectée.

 

  • Garder une PIERRE de JASPE VERT dans votre poche lorsque vous traitez une infection urinaire ou un trouble de l’appareil digestif.

 

  • Mettre un cristal de JASPE sur l’abdomen en vous allongeant pour améliorer la digestion.

 

SUR LE PLAN EMOTIONNEL ET MENTAL

Le JASPE transmet une énergie calme et apaisante tout autour de lui comme la compassion, l’humilité et la patience.

Cette pierre renforce la confiance, réduis les insécurités et encourage son possesseur à avancer dans la vie. Elle nous aide également à nous délester de toute culpabilité et de toute peur irréaliste. En effet, ces sentiments néfastes sont des barrières vers la guérison et entravent la progression.

 

Comment l’utiliser ?

 

  • Portez le jaspe en bijoux (colliers, boucles d’oreilles, bracelets, bagues) pour conserver votre confiance.

 

  • Prenez un élixir de jaspe pour profiter de ces vibrations curatives.

 

  • Gardez une PIERRE DE JASPE sur vous. Si vous vous sentez débordé(e) aussi vous avez l’impression que votre force et votre confiance vacillent, SORTEZ-LA. Puis étreignez la pierre au creux de votre paume. Vous pouvez aussi la frotter entre votre doigt et votre pouce. Faites cette action jusqu’à ce que vous vous sentiez à nouveau calme et confiant(e).

 

  • Garder une FIGURINE DE EN JASPE (pyramide, obélisque ou un bol de Pierre culbute) sur votre bureau de travail ou encore près de vous virgule à la maison.

 

SUR LE PLAN SPIRITUEL

Les propriétés du JASPE sont parfaites pour renforcer la conscience spirituelle. On entend par ce terme, la compréhension du lien sacré entre toute vie et la nature. En outre c’est une pierre précieuse édifiante et positivequi ouvre les yeux sur la beauté intérieure des autres. Elle montre le chemin de l’équilibre parfait.

 

  • Le JASPE KAMBALA est un minéral idéal pour reprendre confiance en votre propre spiritualité. Il est également bénéfique pour trouver la paix intérieure et accéder aux connaissances détenues par les énergies ancestrales. Ainsi, sous la protection de cette pierre présidentielle, vous pourrez explorer votre spiritualité sans l’ombre de négativité.

 

Les cristaux et les figurines de JASPE sont parfaits pour la pratique du Feng shui.

La façon dont ils doivent être utilisés et l’endroit où ils doivent être placés dans la maison dépend entièrement du type de JASPE que vous possédez.

Comment l’utiliser dans la pratique spirituelle ?

  • Tenez un bracelet en pierre naturel ou des perles de prière en JASPE pendant que vous priez où réciter un mantra.

 

  • Porter des bijoux de JASPE (bracelet, cabochon, boucles d’oreilles) et bénéficier de leur soutien spirituel tout au long de la journée.

 

  • Gardez avec vous une pierre roulée de JASPE. Si celle-ci vous interpelle, saisissez la tout simplement dans votre main ou frottez-la là entre votre pouce et votre doigt.

 

LE PENTACLE DU MALAKIM MIaH(EL)

Fabriqué sous son influence 

 

FAVORISE LA PAIX DES COUPLES.

 

Psaume 98 verset 2 :

Hodi’a Adonaï Yeshou’ato Le’eyney Hogoyim gilah tsideqato

L’Eternel a fait connaitre son salut ; aux yeux des païens révélé sa justice.

 

La composition de l’encens du Malakim MIaH(EL) est déterminée par ses correspondances astrologiques. D’un point de vue technique, notons en outre que cette composition, qui est utilisée, pour l’exercice d’harmonisation varie selon Malakim.

 

 

 

1/3 d'Oliban, Aromate du Soleil
L'AROMATE DE LA LUNE - LA MYRRHE

Divin MIaH(EL),

Qui assistez le Père secourable,

Celui qui fait pénétrer son salut aux yeux des nations,

Libérez-moi de tous les liens karmiques

Me reliant encore à l’ancien monde,

Pour que je puisse recevoir une lumière nouvelle

Et l’héberger en mon cœur.

Ouvrez ainsi la porte de ma prison

Et faites-moi sortir de ce lieu mortifère

En m’intronisant à une vie nouvelle.

Ô puissant MIaH(EL),

Revêtez-moi également des chausses pourpres,

Afin que je puisse incarner,

Les projets que je souhaite réaliser,

Sachant en outre m’entourer instinctivement

Des éléments qui me conviennent.

Protégez-moi enfin

Ô MIaH(EL), ma force,

Des influences négatives des mondes des morts.

Et assistez de votre bienveillance

Toutes les personnes défuntes que je vous recommande.

Qu’elles puissent alors se détacher de la matière

Et des liens qu’elles y ont contractés,

Pour ouvrir leur conscience aux mondes supérieurs

Et atteindre ainsi plus rapidement les mondes de lumière.

Qu’il en soit ainsi, ici et maintenant.

Pour le plus grand bien de tous.

Et pour célébrer la Vie.