L’ANGE SEHEIAH– L'HASHMALIM ShAH(YaH)

L’ANGE SEHEIAH– L'HASHMALIM ShAH(YaH)

NE(E) ENTRE LE 8 AU  12 AOÛT

 

VOTRE SOLEIL DE 15° à 19°59 DU LION

SIGNIFICATION DU SOUFFLE

L'HASHMALIM ShAH(YaH)

Le souffle ShAH(YaH) écarte de nous tous les bouleversements, son nom ShAH(YaH) décrit un état tumultueux, qui est sa spécificité. Il neutralise les tumultes en les absorbant et s’en nourrissant. Sa prière retire la confusion, le trouble et la puissance de tous fléaux, aussi grand soient-ils en l’absorbant par sa puissance. On peut invoquer son nom pour nous aider à faire disparaitre notre colère ou notre anxiété.  

 

– (Réf : Virya 1)

L’ange SEHEIAH nous protège contre les incendies, les ruines de bâtiments, les chutes, les maladies, sert contre les infirmités et le tonnerre. Il domine sur notre Santé et notre Longévité. Nés sous son influence, nous aurons beaucoup de jugement; nous agirons avec Prudence et Circonspections.

 

Le génie contraire Berith domine les catastrophes, les accidents, et cause les apoplexies. Il nous influence si nous ne réfléchissons pas avant d’agir. 

 

– (Réf : Lenain2)

  1.  Georges Lahy-Virya, LES 72 PUISSANCES DE LA KABBALE, Les mystères du Shem haMeforash, Georges Lahy, 1999.
  2. Lazare LenainLA SCIENCE CABALISTIQUE, OU L’ART DE CONNAÎTRE LES BONS GÉNIES, Édition Traditionnelles, 32 rue des Fossés Saint-Bernard 75005 Paris, Édition Nouvelles d’après celle de 1909, de l’oeuvre originale écrite par l’auteur en 1823.

Les Hashmalim sont l’incarnation vivante de la Sephirah Chesed (l’Intime). Or Chesed , nous l’avons vu se manifeste sur le plan matériel sous l’apparence de Jupiter. Aussi, la tradition kabbalistique attribue à Hashmalim  ShAH(YaH) au même titre cas tous les autres Hashmalim une tonique majeure Jupitérienne.

 

Plus encore, en nous référant à l’arbre Séphirothique des Hashmalim, nous constatons que ShAH(YaH)est également associée à Geburah (Rigueur). Les fonctions célestes de  ShAH(YaH) seront donc colorées d’une tonique mineure Martienne. Ainsi, la fonction principale de ShAH(YaH) :

 

    • Nous distribuer les Grâces, Bienfaits et Vertus qui proviennent du Divin (tonique majeur Jupitérienne), s’exercera dans un contexte fortement imprégné de valeurs Martiennes.

 

En raison de sa coloration Jupitérienne, le pouvoir de ShAH(YaH) se révèle particulièrement efficace pour développer en nous une grande force morale et un puissant pouvoir d’action permettant de passer avec enthousiasme à travers tous les obstacles. De même, ShAH(YaH) nous aide à lutter contre toute propension à une vie dissipée où les actes révèlent le plus souvent d’une folle témérité et d’une grande irresponsabilité. Si nous sommes constamment agités, impatients, colériques, nous trouverons également auprès de ShAH(YaH) l’appui et le soutien nécessaire pour réformer de telles attitudes.

 

Selon la tradition, ShAH(YaH) est en rapport avec le DON DE FORCE. Alors que le don de conseil nous inspire à l’action et à l’engagement, leDON DE FORCE nous permet de PERSÉVÉRER. C’est ce DON DE FORCE auquel Saint Paul fait allusion lorsqu’il déclara à Timothée :

 

« Le Seigneur lui m’a assisté ; il m’a revêtu de force, afin que par moi le message fut pleinement proclamé et qu’il fut entendu de tous les païens. ». -Timothée 4,17.

 

Ce don s’allie en outre parfaitement avec la vertu du même nom. Toutefois, précisons que, autant LA VERTU DE FORCE ne se conçoit qu’en référence aux épreuves que nous sommes capables de surmonter par nous-mêmesLE DON DE FORCE correspondant est en rapport avec les difficultés que nous serions absolument incapables de surmonter seul. Ce don conforte en outre la VERTU DE FORCE en la préservant de dégénérer en violence aussi gratuite que cruelle.

 

Sur un plan initiatique, ShAH(YaH) nous attribue la capacité de reconnaître en nous les compétences et les qualités dont nous sommes les héritiers. Beaucoup d’entre nous ne réussissent pas à cerner avec précision les domaines de la vie dans lesquels nous pouvons le plus efficacement employer nos énergies. ShAH(YaH) nous révèle ces domaines et permet alors une juste utilisation de nos capacités latentes dont la divine providence nous a comblés. Puisque ShAH(YaH) nous allègue une grande profondeur au jugement, la tradition fait de lui un protecteur contre les accidents et les catastrophes de tout genre. Si nous sommes irréfléchis ou le tempérament trop prompt, nous pourrons avantageusement travailler avec ce messager.

L'HASHMALIM ShAH

Le nom de l’Hashmalim SHAH(YaH) est constitué d’un radical composé des lettres ShIN, Aleph et à partir desquelles nous pouvons former le mot shaah (ShIN Aleph Hé) signifiant « dévaster » ou « ruiner » ; « être un désert » ou « être désolé » ; « être tumultueux », « être en fureur » ou « s’agiter » et, enfin, « être stupéfait » ou « être étonné ». Il est également possible de constituer le mot isheh (Aleph ShIN Hé) désignant, dans la tradition juive, le sacrifice brûlé sur l’autel. Enfin, nous pouvons extraire de ce radical le terme seh (ShIN –) désignant l’« agneau ». Quant à la particule YaH, elle le place dans une perspective de relation à Dieu. Nous nous intéresserons donc à ces mots pour mieux appréhender ce qu’incarne SHAH(YaH).

 

Avant toute chose, il importe cependant de préciser que la lettre Aleph occupe le centre du radical. Sachant, nous l’avons déjà mentionné précédemment, que cette lettre incarne la puissance divine en tant que force fécondante et vivifiante, agissant dans le monde pour y maintenir la cohésion, l’organisation et la vie, nous pouvons déjà en déduire que toutes les réalités évoquées par les mots extraits du radical s’articuleront autour de cette puissance fécondante et vivifiante. C’est donc dans cette perspective que nous interpréterons le mot shaah(ShIN – Aleph). En effet, pour permettre à une terre d’être investie par le souffle vivificateur et fécondant de Dieu afin d’accéder à un état de pleine fertilité, il faut préalablement qu’elle soit totalement défrichée (devenant ainsi une terre désolée) et labourée (soit encore dévastée). C’est l’histoire du grain de blé évoqué par le Christ dans l’évangile selon saint Jean :

 

« En vérité, en vérité, je vous le dis, si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il demeure seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. ».

– Jean XII, 24.

 

En effet, nous sommes tous représentés par ce grain de blé qui renferme en lui-même de prodigieuses potentialités bien qu’il demeure encore complètement replié sur lui-même, sans aucune espèce de fécondité, ignorant sa véritable destinée et souhaitant se conserver tel qu’il est, sans transformation profonde (à moins qu’il ne cherche à être un grain de blé plus gros qui, en raison de sa taille et de son poids, pourrait régner sur tous les autres grains de blé). Un jour cependant, il sera jeté en terre, une terre dont l’humidité va entamer en lui un véritable processus de dévastation. La fine peau qui le recouvrait, une peau dorée, lisse et douce au toucher, va en effet pâlir, se ramollir, se gondoler et pourrir. Pire encore, sous l’action d’une humidité le pénétrant jusqu’au dedans, il se transformera jour après jour en une réalité gonflée et boursouflée qui finira par éclater et s’éventrer. Toutefois, ce processus de dévastation, loin d’être négatif, se révélera au contraire profondément positif puisqu’il lui permettra de manifester les prodigieuses ressources dont il était porteur au plus profond de lui-même (il deviendra épi de blé).

 

Ajoutons que le grain de blé peut croire, tout au cours de ce processus de dévastation qui le submerge jusqu’au plus profond de son être, qu’il est frappé d’une malédiction divine. Or, nous le savons maintenant, cette fureur divine (évoquée par le terme shaah (ShIN Aleph Hé)), ne s’inscrit pas dans un processus de néantisation, mais bien dans celui d’une restauration (restauration de l’être dans sa fécondité première). C’est d’ailleurs ainsi qu’il faut comprendre, dans les textes bibliques, les épisodes évoquant un Dieu qui frappe les impies, dans sa fureur. Dans cette perspective, Il déclara même aux Israélites qui s’étaient détournés de Lui (qui, étant sous l’emprise de l’Esprit du monde, n’étaient plus aptes à s’établir solidement, en ce lieu où le souffle vivificateur de Dieu les féconde) :

 

« Et si malgré cela vous ne m’écoutez point et que vous vous opposiez à moi, je m’opposerai à vous avec fureur, je vous châtierai, moi au septuple pour vos péchés. Vous mangerez la chair de vos fils et vous mangerez la chair de vos filles. Je détruirai vos hauts lieux, j’anéantirai vos autels à encens, j’entasserai vos cadavres sur les cadavres de vos idoles et je vous rejetterai. Je ferai de vos villes une ruine, je dévasterai vos sanctuaires et ne respirerai plus vos parfums d’apaisement. C’est moi qui dévasterai le pays et ils en seront stupéfaits, vos ennemis venus l’habiter ! […] Ceux qui parmi vous survivront dépériront dans les pays de leurs ennemis à cause de leurs fautes ; c’est aussi à cause des fautes de leurs pères, jointes aux leurs, qu’ils dépériront. Ils confesseront alors leurs fautes et celles de leurs pères, fautes commises par infidélité envers moi, mieux, par opposition contre moi. Moi aussi je m’opposerai à eux et je les mènerai au pays de leurs ennemis. Alors leur cœur incirconcis s’humiliera, alors ils expieront leurs fautes. Je me rappellerai mon alliance avec Jacob ainsi que mon alliance avec Isaac et mon alliance avec Abraham, je me souviendrai du pays. ».

– Lévitique XXVI, 27-32 ; 39-42.

 

C’est aussi dans un même ordre d’idée que nous pouvons interpréter le symbolisme de l’agneau. En effet, dans la tradition occidentale, cet animal évoque un processus de mise à mort (un processus sacrificiel où on l’égorge) pour obtenir (ou maintenir) l’intervention de la puissance vivificatrice de Dieu, celle-ci permettant à celui qui présente son offrande d’être épanoui (d’être rendu fécond) dans toute la plénitude de sa mesure. Ainsi,

 

« À toutes les étapes du développement de la civilisation méditerranéenne – civilisation de pasteurs nomades autant que d’agriculteurs sédentarisés – l’agneau premier-né, celui qu’on appelle aujourd’hui agneau de la Saint Jean, apparaît, dans sa blancheur immaculée et glorieuse, comme une cratophanie printanière : il incarne le triomphe du renouveau, la victoire, toujours à refaire, de la vie sur la mort. C’est cette même fonction archétypale qui fait de lui par excellence la victime propitiatoire, celui qu’il faut sacrifier pour assurer son propre salut. […] En fait, avec une constance qu’aucun événement ne vient altérer jusqu’à nos jours, l’agneau de lait, des juifs aux chrétiens, et de ceux-ci aux musulmans, est la victime sacrificielle de toutes les occasions, et surtout du Renouveau où se succèdent Pâque juive, Pâques chrétiennes, mort et résurrection du Christ agneau de Dieu, et sacrifice du Ramadan… ».

– Chevalier, Jean, Gheerbrant, Alain, Dictionnaire des Symboles, Robert Laffont, Paris, 1982.

 

 

Ajoutons en outre que le mot isheh(Aleph ShIN) désignant le sacrifice brûlé sur l’autel, conforte encore de manière éloquente ce symbolisme propre à l’agneau.


Dès lors, considérant ce qui précède, nous pouvons en déduire que la Hashmalim SHAH(YaH) nous invite à jouir des ressources de la réalité en sachant combattre toutes les forces mortifères qui tendent à cristalliser cette réalité sous sa seule apparence extérieure, ne donnant plus accès aux formidables richesses intérieures qu’elle recèle. Elle nous confère donc la force et la confiance nécessaires pour agir sans hésitation, même de manière apparemment destructrice, si cela peut faciliter notre processus d’épanouissement. En ce sens, elle nous confère une puissante aptitude à travailler la matière, la triturant, la pétrissant, la transformant et la transmutant, révélant ainsi toutes les richesses qu’elle recèle dans nos profondeurs. C’est d’ailleurs pourquoi certains kabbalistes suggèrent à ceux qui s‘adonnent aux travaux d’alchimie de solliciter l’aide de cette Hashmalim.

Nous savons que les Hashmalim sont étroitement associées à l’archétype incarné par Jupiter. La tradition hermétique attribue donc à SHAH(YaH) (au même titre qu’à toutes les Hashmalim) un enjeu essentiellement jupitérien consistant à faire l’expérience de la joie, de l’abondance et de la richesse à travers les ressources que recèlent les divers plans de la création.

 

Plus encore, selon les hermétistes, SHAH(YaH) est associé secondairement à Mars. Son rayonnement sera donc coloré d’une tonique mineure martienne. Or cette planète évoque fondamentalement une capacité à rectifier, replaçant une réalité en conformité avec sa vraie nature. Il est donc aisé d’en déduire que le principal enjeu de SHAH(YaH) consistera à faire l’expérience de la joie, de l’abondance et de la richesse en sachant rectifier tout ce qui n’est pas conforme à celle-ci. Dans cette perspective, il stimulera tout particulièrement notre aptitude à gérer et à administrer de manière dynamique, n’hésitant pas à trancher et à rectifier si nécessaire, sans nous embarrasser d’éléments nuisibles et superflus.

 

En ce sens, SHAH(YaH) pourra parfois nous amener à développer une certaine combativité dans la gestion des affaires (réagissant avec promptitude et sans tergiversation). De même, il nous protège contre toute tendance à gérer de manière trop impulsive, agressive, téméraire ou aventureuse (goût excessif pour le risque). Il nous aide en ce sens à ne pas administrer les choses de manière trop extrémiste.

 

Considérant ses toniques planétaires, cet Hashmalim sera invoqué pour exalter, au niveau d’un thème astrologique, tout aspect consonant entre Jupiter et Mars ou pour harmoniser tout aspect dissonant entre ces deux planètes.

Nombreux sont les contes où le héros, confronté à une situation dramatique, reçoit des cieux les forces nécessaires qui lui permettent de triompher. Pour illustrer l’influence de ShAH(YaH) sur notre conscience, nous avons choisi le mythe de Persée que nous rapporte la mythologie grecque.

 

On nous rapporte que Persée promis un jour au roi Polydecte de tuer Méduse et de lui en rapporter la tête. Méduse était une Gorgone, l’une de ces trois gorgones qui vivaient, dit-on, là où commence la nuit éternelle. Elles étaient monstrueuses : pourvu d’ailes, elles portaient une chevelure hérissée de serpents et possédaient le redoutable pouvoir de transformer en pierre quiconque les regardait.

 

Persée parti donc à la quête de Méduse, le Soleil couchant lui indiquant la direction à prendre. Très longtemps il marche ainsi vers l’ouest sans se lasser. Cette intrépide courage plus aux Dieux et Athéna, déesse de la Sagesse, apparut à Persée pour lui prêter son bouclier réfléchissant. Hermès, messagers des dieux, offrit quant à lui a Persée une épée qui lui permettait d’attaquer Méduse, car elle avait une lame que les écailles de la Gorgone, si dures fussent-elles ne pouvaient ni briser ni même courber. Ce messager des dieux le transporta en outre au pays d’où soufflent les vents du Nord afin que les Nymphes lui procurent des sandales ailées, une sacoche et un heaume.

 

Ainsi armée, Persée parvint au repaire des Gorgones. Il trouva ces monstrueuses créatures endormies, les ailes repliées. Sans les regarder directement, guidé par leur reflet sur son bouclier, il coupa la tête de Méduse qui reposait parmi ses sœurs. Il restait maintenant à emporter la tête. Elle était si grande que le jeune homme doutait de pouvoir la faire entrer dans son sac, même en sachant que celui-ci était doté de vertus merveilleuses. Mais le petit sac avala le fardeau comme un galet et le changea pas de poids. Charger de son butin, Persée frappa le sol de ses talons et s’envola. Grâce à son casque, il était invisible et pu échapper ainsi aux deux autres Gorgones qui, découvrons leur sœur morte, étaient parties, furieuse, à sa poursuite.

 

Ainsi, Persée ne pouvait regarder méduse sans devenir une pierre, c’est-à-dire sans se cristalliser et mourir à sa dimension spirituelle. Méduse représente la perversion de la personnalité humaine qui cristallise notre âme et l’enchaîne aux réalités matérielles. Pour convaincre cette Gorgone si nous nous montrons engagés et actifs recevons le secours des hiérarchies célestes, et particulièrement celui de ShAH(YaH). Revêtus du DON DE FORCE nous permettant de vaincre les dimensions inférieures de notre personnalité, nous sommes alors investis des outils nécessaires pour atteindre notre objectif : un bouclier, une épée, des sandales ailées, une sacoche et un heaume, tous investis de propriétés merveilleuses.

SUR LES TROIS PLANS DE L’ÊTRE

Nous  sommes invités à savourer les ressources que nous  possédons en sachant combatte tout ce qui pourraient s’opposer à l’exaltation de celles-ci, puisant dans leurs dimensions profondes. En ce sens, nous sommes conduits à savoir extraire d’une dimension apparemment stérile, pauvre et limitée, les prodigieuses ressources dont elle est porteuse.

 

Par ailleurs, nous devons proscrire tout penchant à détruire afin de soutirer plus facilement à la matière les ressources qu’elle recèle, mettant ainsi à sac ton  environnement et faisant d’un jardin riche et opulent un véritable désert sans perspective de régénération.

Nous  sommes amenés à offrir à l’autre les ressources dont nous disposons en sachant trancher et rectifier si nécessaire, sans nous embarrasser d’éléments nuisibles et superflus. En ce sens, nous devons cerner au-delà des exigences plus ou moins égoïste d’autrui ses besoins réels, sachant y répondre adéquatement  sans nous  préoccuper de savoir si cela va lui plaire ou non.

 

Nous devons nous protéger contre toute tendance à gérer nos relations de manière tumultueuse, impulsive et téméraire, nous investissant sans mesurer les risques ; les ruptures, les disputes et les remises en question risquent autrement d’être fréquentes. Nous devons  éviter en outre de développer trop d’excitabilité dans notre rapport aux autres.

Nous sommes conduits à jouir des biens que la Divinité (la vie) nous prodigue en nous aidant à combattre les forces mortifères qui peuvent nous inciter à ne plus percevoir la présence sacrée au sein de la matière, le souffle qui l’anime, celles-ci nous apparaissant dés lors singulièrement pauvre et limitée, toute recroquevillé sur sa propre nature.

 

De même, nous devons lutter contre toute prédisposition à détruire une chose dans le but de nous approprier la puissance Sacrée qui l’anime, ceci ne pouvant nous conduire qu’à trouver le néant, ignorant que nous pouvons accéder à cette puissance que dans une attitude d’accueil et de don et non d’appropriation.

De couleur rouge brique, il est associé

 

  • Au plexus pelvien- le chakra de base (Muladhara chakra)

SUR LE PLAN PHYSIQUE

  • Le JASPE ROUGE serait réputé pour calmer et diminuer les maux d’estomac.

 

  • On lui accorde des vertus tonifiantes de la sexualité et de l’état général.

SUR LE PLAN EMOTIONNEL ET MENTAL

  • Le JASPE ROUGE agit sur le corps éthérique pour le tonifier, le dynamiser perméable aux énergies positives, le protéger, le rende perméable aux énergies.

 

  • Il protège des énergies négatives.

SUR LE PLAN SPIRITUEL

  • Le JASPE ROUGE aide à prendre conscience de la semence divine que l’on porte en soi.

 

LE PENTACLE DE L'HASHMALIM ShAH(YaH)

Fabriqué sous son influence 

 

PROTEGE CONTRE LA MALADIES ET LES INCENDIES

 

Psaume 71, verset 12 :

Elohim Al-Tireh’aq Mimeni Elohay Le’ezerati H’isha

Elohim, ne sois pas loin de moi, mon dieu, viens à mon aide.

La composition de l’encens de l’Hashmalim ShAH(YaH) est déterminée par ses correspondances astrologiques. D’un point de vue technique, notons en outre que cette composition, qui est utilisée, pour l’exercice d’harmonisation varie selon l’Hashmalim .

 

L'AROMATE DE JUPITER - LE BENJOIN
L'AROMATE DE MARS - LA MUSCADE

Divin ShAH(YaH),

Qui louez Celui qui guérit les malades,

Ne soyez pas loin de moi,

Mais venez à mon aide.

O puissant ShAH(YaH),

Transmettez-moi ainsi le don de force,

Pour que je puisse cultiver une nature enthousiaste,

Mettant rapidement tout projet en exécution

Et ne doutant jamais de ma réussite.

Gardez-moi cependant

De sombrer dans une vie dissipée

Et préservez-moi de la témérité

Comme de toutes formes d’irresponsabilité.

Si vous m’en jugez digne,

Ô ShAH(YaH), ma force,

Remplissez-moi enfin de grâce et de puissance,

Pour que je reconnaisse en moi

Les compétences et les qualités

Dont je suis héritier.

Je cernerai alors les domaines de la vie

Où je pourrai œuvrer avec précision,

De manière juste, efficace

Et en harmonie avec les plans divins.

Qu’il en soit ainsi ici et maintenant

Pour le plus grand bien de tous.

Et pour célébrer la Vie