L’ANGE MELAHEL– L’ARALIM MeLaH(EL)

L’ANGE MELAHEL– L’ARALIM MeLaH(EL)

NE(E) ENTRE LE 13 AU  17 JUILLET

 

VOTRE SOLEIL DE 20° à 24°59 DU CANCER

SIGNIFICATION DU SOUFFLE

L'ARALIM MeLaH(EL)

L’énergie de l’Aralim MeLaH(EL) nous accorde la facilité de jouer sur les mots. Il facilitera l’écriture, de même le décryptage des paroles au-delà des mots.  Lorsque nous parlons nous savons ce que nous disons, ce que nous entendons, et ce que nous pensons grâce à MeLaH EL nous percevons les 3 niveaux. Il nous permet de résoudre toute sorte de problèmes de santé ou autre par simple écoute à plusieurs niveaux. Sa prière développe cette disposition.  

 

(Réf. Virya1)

L’Ange Trône MELAHEL domine l’eau, toutes les productions de la terre, et principalement les plantes qui sont nécessaire à la guérison des maladies. Né(e) sous cette influence nous serons d’un naturel hardi, et capable d’entreprendre les expéditions les plus périlleuses ; nous nous distinguerons par nos actions honorables.

 

Le génie contraire AIM influe sur tout ce qui est nuisible à la végétation, il cause la maladie et la peste. 

 

– (Réf. Lenain2)

  1.  Georges Lahy-Virya, LES 72 PUISSANCES DE LA KABBALE, Les mystères du Shem haMeforash, Georges Lahy, 1999.
  2. Lazare LenainLA SCIENCE CABALISTIQUE, OU L’ART DE CONNAÎTRE LES BONS GÉNIES, Édition Traditionnelles, 32 rue des Fossés Saint-Bernard 75005 Paris, Édition Nouvelles d’après celle de 1909, de l’oeuvre originale écrite par l’auteur en 1823.

Les Aralim sont l’incarnation vivante de la Séphirah Binah (Intelligence). Or Binah, se manifeste sur le plan matériel sous l’apparence de Saturne. Aussi la tradition Kabbalistique attribut au Aralim MeLaH(EL) au même titre qu’à tous les autres Aralim, une tonique majeure Saturnienne.

Plus encore, en nous référant à l’arbre Sephirotique des Aralim, nous constatons que MeLaH(EL) est également associée à Hod (gloire). Alors les fonctions célestes de MeLaH(EL) seront donc colorées lune tonique mineurs mercurienne. Ainsi, la fonction principale de MeLaH(EL) :

 

  • Faire comprendre et accepter à l’être humain les épreuves jalonnant notre existence terrestre (tonique majeur saturnienne), s’exercera dans un contexte fortement imprégné de valeur mercurienne.

 

En raison de sa coloration mercurienne, le pouvoir de MeLaH(EL) se révèle particulièrement efficace pour développer en nous un mental grandement structuré doué d’un remarquable sens du discernement et sachant faire preuve d’une parfaite objectivité, les idées exprimées étant toujours parfaitement claires, précises et concises. De même, cet Aralim lutte contre toute tendance à exercer une logique froide et implacable, exempte de toute sensibilité et de toute émotion. MeLaH(EL) se révèle alors une aide précieuse pour lutter contre une telle attitude.

 

Confrontés à l’épreuve, sous l’influence bénéfique de MeLaH(EL) nous apprenons à développer la Vertu d’Espérance conformément aux recommandations de l’apôtre Saint Paul dans son épître aux romains :

 

 » soyez joyeux dans l’espérance  »

Romain XII, 12.

 

Il faut entendre par Vertu d’Espérance cette faculté d’orienter notre conscience vers un idéal qui motive toutes nos actions. Ainsi, il apparaît que cette vertu étroitement liée à celle de la foi, laquelle donne en effet à l’espérance l’objet et le motif sur lesquels elle prend appui. L’application de cette vertu dans notre quotidien fait appel à plusieurs facultés dont notamment la PATIENCE.

 

Les enseignements traditionnels nous précisent que cette vertu stimulée par le rayonnement de MeLaH(EL) s’enracine plus parfaitement au cœur de notre personnalité grâce à notre profession du vœu de chasteté. Le vœu de chasteté, nous préservant d’une union adultère avec ce monde terrestre, ouvre et sensibilise peu à peu notre conscience aux réalités célestes, nous permettant ainsi de cultiver une juste espérance.

 

En regarde aux impulsions mercurienne associées au l’Aralim MeLaH(EL), il n’est guère étonnant que la tradition reconnaisse à cet Aralim le pouvoir de nous guider vers une plus intime communion avec l’Ineffable. Travaux du peuple Celte sont particulièrement intéressants à ce titre. Les Celtes avaient reçu des révélations importantes concernant la nature des courants énergétiques terrestres (les courants telluriques) mais également sur la manière dont les rayons célestes (principalement en provenance du Soleil et de la Voie lactée) se conjuguent aux forces planétaires. C’est ce qu’attestent toujours de mystérieux mégalithes : des pierres levées ou menhir et des pierres couchées où Dolmen. Les druides initiés n’avaient en effet qu’un seul but : rendre un culte à Dieu à travers une harmonisation de la nature pour finalement vivre un rite nuptial, c’est-à-dire un mariage mystique entre le Soleil et la Terre : une union entre l’esprit et le corps. MeLaH(EL) favorise ce mariage mystique avec la nature en conférant l’illumination et la subtilité mentale nécessaire pour comprendre cet ultime et lumineux destin.

 

Plus particulièrement, MeLaH(EL) gouverne l’eau et devient en ce sens l’intelligence tutélaire de l’agriculture. C’est pourquoi Lenain lui attribue le pouvoir de combattre les inondations et les sécheresses et de protéger les récoltes. Ainsi les Spagiristes initiés travaillent en harmonie avec MeLaH(EL) pour la culture et la cueillette des plantes médicinales garantissant ainsi une meilleure qualité de leurs propriétés actives.

 

Enfin, sachant que les Aralim sont directement associés aux épreuves de la vie ont leur qualité d’instructeurs, l’influence de MeLaH(EL) nous permet plus spécifiquement de mieux comprendre le sens à donner aux événements principalement caractérisés par la critique injuste et l’antipathie de la part des autres. Confrontés à de telles épreuves, ceux qui adoptent l’envie, l’amertume, la méfiance et développent une prédisposition aux troubles nerveux et mentaux, pourront solliciter l’appui de MeLaH(EL). Cet Aralim nous permet d’acquérir la clarté mentale nécessaire pour mieux assumer la situation dans un esprit de SÉRÉNITÉ et de PAIX.

L'ARALIM MeLaH

Le nom de l’Aralim MeLaH(EL) est constitué d’un radical composé des lettres MeMLaMeD et He à partir desquelles nous pouvons former le mot malah (MeM– LaMeDHe) désignant « le mot » ou « la parole ». De même, nous pouvons constituer le terme halam (HeLaMeDMeM) signifiant « convenir » ou « être conforme ». Enfin, nous pouvons extraire le terme mahal (MeMHeLaMeD) que l’on peut traduire en français par le mot « circoncire ». Quant à la particule EL (ALePhLaMeD), elle introduit ces réalités dans une perspective de relation à Dieu. Pour saisir l’enjeu auquel cet Aralim se réfère, entreprenons dons l’analyse symbolique des mots que nous avons extraits du radical.

 

Considérant l’enjeu principal des Aralim nous invitant à assumer nos limites, il apparait évident que MeLaH(EL) nous amène tout d’abord à employer le mot juste nous permettant de nous dire et de nous découvrir tout en nous donnant l’outil nécessaire pour nous placer en relation avec l’autre. En effet, le mot a pour fonction de nous amener à prendre conscience de nous-mêmes à travers le choix des termes que nous utilisons pour nous dire. Ceci nous permet par la suite de communiquer, les mots étant les outils essentiels de toute communication véritable ou chacun se dit dans la reconnaissance et l’affirmation de sa spécificité. En ce sens, le mot juste est le mot qui permet l’échange et la communication authentique, le langage servant a établir un rapport de médiation avec autrui. Toutefois, nous nous disons toujours en nous voilant. En effet, si le mot est juste, il demeure toutefois impénétrable dans ses dimensions profondes. Ainsi,

 

 » Les mots – je l’imagine souvent – sont de petites maisons avec cave et grenier. Le sens commun séjourne au rez-de-chaussée… Monter l’escalier dans le mot, c’est de degré en degré abstraire. Descendre a la cave, c’est rêver, c’est se perdre dans les lointains couloirs d’une étymologie incertaine, c’est chercher dans les mots des trésors introuvables. Monter et descendre, dans les mots mêmes, c’est la vie du poète. Monter trop haut, descendre trop bas est permis au poète qui joint le terrestre a l’aérien. Seul le philosophe sera-t-il condamne par ses pairs a vivre toujours au rez-de-chaussée ? « .

Bachelard, Gaston, La poétique de l’espace, P. U. F., Paris, 1981.

 

Quant à la circoncision, si les dictionnaires de symbolisme juif affirment qu’elle est une pratique d’hygiène et de raffinement érotique, l’hermétisme y voit davantage l’ancrage d’une identité sexuelle. En effet, pour bien des civilisations antiques, la suppression du prépuce (qui matérialise l’âme femelle) élimine toute ambivalence quant a l’identité sexuelle du jeune garçon (l’abolition du clitoris étant pratiquée dans la même perspective dans certaines traditions). Nous retrouvons donc déjà l’enjeu de MeLaH(EL) consistant à établir avec l’autre un échange dans lequel nous assumons notre spécificité et les limites de notre identité.
A un niveau plus conforme à la perspective juive, la suppression du prépuce évoque également une reconnaissance du fait que l’homme est un être incomplet (puisqu’il lui manque un morceau). Des lors, seule une relation a l’autre pourra le combler. En effet, il n’existe vraiment (être complet, c’est exister vraiment) que dans une relation à l’autre. Sur un plan plus spirituel, le rite de la circoncision s’inscrit évidemment dans le cadre d’une relation avec Dieu puisqu’elle est un rite d’alliance plaçant l’homme en union intime avec Lui :

 

« La tradition juive rattache l’institution de ce rite a l’évènement le plus important pour l’histoire du Salut qu’ait retenu la saga du grand patriarche : l’Alliance conclue par Dieu avec Abraham et sa descendance. La circoncision en devient le signe, que tout male doit porter dans sa chair en témoignage de son adhésion ; l’incirconcis sera “retranché d’entre les siens : il a rompu l’Alliance”. ».

 – Gerard, André-Marie, Dictionnaire de la Bible, Robert Laffont, Paris, 1989.

 

A ce titre d’ailleurs, la circoncision prend alors une signification sacrificielle : l’offrande d’une partie de son corps a la divinité représentant l’individu tout entier qui se donne à Dieu, sa destine étant de se donner entièrement à Lui. Elle est donc une manière d’affirmer son appartenance à Dieu, le prépuce symbolisant tout l’être, toute sa fécondité. Plus encore, ce rite peut dès lors s’interpréter comme une volonté de se conformer (d’être conforme) a la volonté de Dieu. En effet, c’est alors seulement qu’il pourra être complet, achevé, participant a la créativité de Dieu dont il reconnait l’importance dans sa propre vie.

 

Annick de Souzenelle souligne que la circoncision est un rite se déroulant en trois étapes : « Dans un premier temps, appelé Orlah (AYiNVaVReIShLaMeDHe) le prépuce est coupe. Or (AYiNVaVReISh), nous nous en souvenons, est la “tunique de lumière”. Orlah, coupure de cette peau, est l’éveil à la lumière. En effet, toute la cérémonie va tendre à découvrir le gland, symbole de la lumière-verbe. La peau (le prépuce) est alors jetée dans la “poussière” pour qu’apparaisse la lumière. Dans un deuxième temps appelé Priah (PeHReIShYoDHe), les chairs sont écartées, séparées, pour découvrir basar, “la chair originelle” qui est le principe de vie. Priah (PeHReIShYoDHe) est le mot qui veut dire “fructification, fertilité, fécondité” – Pri (PeHReIShYoD) est “le fruit”. Il est fait de la racine Par (PeHReISh), symbole de fécondité, et des deux lettres sacrées Yah (YoDHe) qui commencent le tétragramme divin. La mise a nu de la chair originelle est le retour aux normes ontologiques de l’homme, à la puissance de sa fécondité qui, dans cette perspective, ne concerne pas la procréation, mais la mise au monde de Yah (YoDHe), l’enfant divin qui révèle le Nom et dont l’enfant extérieur est le symbole. Dans un troisième temps appelé Mtsitsah (MeMTsaDIYoDTsaDIHe] qui veut dire “sucement”, le Moel (le circonciseur) suce le sang afin de découvrir la Nephesh, l’âme vivante liée au sang. Alors l’enfant redevient âme vivante. ». 

– De Souzenelle, Annick, Le symbolisme du corps humain, op. cit.

 

Considérant ce qui précède, nous pouvons en déduire que l’Aralim MeLaH(EL) nous invite à assumer pleinement note condition existentielle en sachant faire de notre parole une parole juste, employant en ce sens les mots qui nous permettront d’établir un véritable rapport d’échange avec l’autre par lequel nous nous se dévoilerons tel que nous sommes, prenant en outre conscience que nous sommes ontologiquement un être de relation et que nous ne pourrons exister vraiment que si nous sommes en relation avec l’autre. Notre véritable nature sera dès lors révélée comme l’évoque le rite de la circoncision.

Nous savons que les Aralim sont étroitement associés à l’archétype incarné par Saturne. La tradition hermétique attribue donc à MeLaH(EL) (au même titre qu’à tous les Aralim ) un enjeu essentiellement saturnien consistant à découvrir nos limites existentielles et à les assumer pleinement.

 

Plus encore, selon les hermétistes, MeLaH(EL) est associé secondairement à Mercure. Son rayonnement sera donc coloré d’une tonique mineure mercurienne. Or Mercure évoque fondamentalement un principe de relation plaçant deux réalités en rapport étroit. Il est donc aisé d’en déduire que le principal enjeu de MeLaH(EL) consistera donc :

 

  •  À assumer nos limites existentielles tout en sachant établir une dynamique de relation avec l’autre. Dans cette perspective, il stimulera tout particulièrement notre aptitude à entrer en relation avec autrui en prenant rapidement conscience des limites respectives de chacun (celles qu’il ne faut pas dépasser).

 

En ce sens, nous développerons un important sens du discernement sachant replacer chaque chose à sa juste place dans la relation que nous entretiendrons avec elle. De même, cet Aralim nous protégera contre toute tendance à établir nos limites en fonction des apparences, sans chercher à discerner ce qui se trouve derrière. Aussi, il nous aidera à combattre toute inclination à faire de notre existence une réalité superficielle et étrangère à nous-mêmes en la faisant correspondre aux critères établis par les autres (valorisés par notre environnement), ceci ne nous permettant guère de rendre tangible ce que nous sommes réellement.

 

Considérant ses toniques planétaires, cet Aralim est invoqué pour exalter, au niveau de notre thème astrologique, tout aspect consonant entre Saturne et Mercure ou pour harmoniser tout aspect dissonant entre ces deux planètes.

Pour illustrer l’influence de MeLaH(EL) sur la conscience humaine, nous avons choisi un extrait du récit de l’Odyssée dans lequel Pénélope incarne bien la vertu qu’éveille cet Aralim en nous.

 

Depuis qu’Ulysse s’est embarqué pour Troie, personne ne l’avait plus revu. Chacun tenait sa mort pour acquise, sauf Penelope, son épouse, et Télémaque, son fils, qui conservaient toujours secrètement L’ESPOIR. Pour faire face à nombre de prétendants qui la considéraient désormais comme veuve, Pénélope leur avait déclaré qu’elle ne pouvait songer à se marier avant d’avoir achevé un beau suaire destiné à Ulysse, lorsqu’il viendrait à mourir. Pour prolonger son travail, car elle espérait toujours le retour de son époux, Pénélope défaisait la nuit ce qu’elle avait fait le jour.

 

Pendant tout le temps que dura son ouvrage, elle dû repousser avec patience les tentatives toujours plus audacieuses de ses prétendants qui s’avéraient être des hommes vils, rudes et arrogants. Ils passaient leur journée dans la demeure même de Pénélope, dévorant les provisions d’Ulysse, buvant son vin et brûlant son bois. Ils avaient déclaré à Pénélope qu’ils ne quitteraient les lieux que lorsqu’elle serait décidée à épouser l’un d’entre eux. Mais L’ESPÉRANCE de revoir un jour Ulysse donnait force et courage à Pénélope pour résister aux affronts parfois difficilement tolérables de ces rustres personnages.

 

Porté par L’ESPÉRANCE, Pénélope symbolise ici la personnalité humaine qui, jour après jour, lutte contre les limitations perverses de ce monde (les prétendants) en attendant le retour de l’esprit (Ulysse). Notons, elle tisse pour cela un Suaire. Sur un plan symbolique, ce Suaire représente la somme de fatigue que Pénélope a accumulée pour vaincre les assauts de ses prétendants.  Aussi pour économiser ses efforts et récupérer quelque peu ses énergies, Pénélope défait-elle la nuit l’ouvrage qu’elle a fait le jour. Ceci n’est pas sans évoquer l’activité nocturne de l’homme. En effet, celui-ci, lors de son sommeil, passe sur les plans subtils il travaille une partie de la nuit à enlever la fatigue accumulée durant le jour.

SUR LES TROIS PLANS DE L’ÊTRE

Nous sommes amenés à assumer la place que nous occupons au sein de notre milieu en sachant nous établir dans une juste relation d’échange et de médiation, faisant de notre parole un outil privilégié par lequel nous pouvons prendre conscience de nous-mêmes, de nos limites existentielles, à travers le choix des mots que nous utilisons pour nous dire.

 

Par ailleurs nous devons nous protéger contre tout penchant à enfermer les réalités qui nous entourent dans des concepts vides et stériles qui n’expriment qu’une faible partie de ce qu’elles incarnent et ne traduisant pas leur dimension vivante et profonde.

Nous sommes conduits à assumer nos limites dans notre relation en faisant de notre parole un outil de médiation fécond, nos mots incarnant de manière juste l’essence profonde de notre réalité, la restituant ainsi à sa juste place vis-à-vis de l’autre.

 

En ce sens, nous devons combattre toute forme de mensonges ainsi que de paroles vides de sens qui enferment et aliènent, dissimulant la nature de nos pensées et de nos sentiments véritables, contribuant du même coup à nous enfermer dans le cadre de nos propres limites, en raison d’une impossibilité de communication.

Nous sommes invités à accepter pleinement notre condition existentielle en sachant faire de notre parole une parole juste, employant les mots qui permettent aux réalités de l’Esprit, celles de l’Amour, et à celles de notre moi véritable de nous dire dans la reconnaissance et l’affirmation de leurs spécificités.

 

Nous devons lutter également contre toute inclination à dénaturer les réalités spirituelles en les traduisant sous forme de mots qui, inaptes à exprimer toute leur profondeur, risquent de les déformer. En effet, les mots seraient alors des mots qui tuent plutôt qu’une parole qui vivifie.

De couleur bleu, elle est associée

 

SUR LE PLAN PHYSIQUE

 

  • La CALCEDOINE facilite la qualité d’expression et de communication en lien avec la foi (chakra de la gorge).

SUR LE PLAN EMOTIONNEL ET MENTAL

 

  • Pierre d’une grande douceur, la CALCEDOINE et la fumée du bâton d’encens qui s’élève vers le ciel.

 

  • Très positive, elle propage les émotions paisibles apaise les chagrins guéri les surmenés et les agités (chakra du 3e œil).

 

  • La CALCEDOINE est recommandée aux personnes agressives où irritable car elle apaise l’expression s’oppose à l’ironie et à la provocation verbale (chakra de la gorge).

 

  • Elle convient aussi aux timides virgule au personne réservée en facilitant leur capacité d’expression.

 

 

SUR LE PLAN SPIRITUEL

  • La CALCEDOINE est innocente dans les travaux de recherche spirituelle (variété lilas clair et translucide au chakra du sommet) et permet d’absorber les hautes sphères de la spiritualité sans crainte sans stress.

 

LE PENTACLE DE L'ARALIM MeLaH(EL)

Fabriqué sous son influence 

 

Accroit les effets des plantes médicinales.

 

Psaume 121 verset 8 :

 

Adonaï Yishemartsetekha Ouvoekha Me’atah ve’ad-‘olam

Yhwh te garde au départ, au retour, dès lors et à jamais

La composition de l’encens de l’Aralim MeLaH(EL) est déterminée par ses correspondances astrologiques. D’un point de vue technique, notons en outre que cette composition, qui est utilisée, pour l’exercice d’harmonisation varie selon l’Aralim .

 

L'AROMATES DE SATURNE - LE STORAX
AROMATE DE MERCURE - LE MASTIC

Divin MeLaH(EL),

Qui louez Celui qui délivre des maux,

Apprenez-moi à acquérir, face aux épreuves,

Un esprit sagace et perspicace.

Développez également en moi

L’objectivité, la patience, la subtilité,

Et la clarté mentale nécessaires

Pour mieux affronter l’adversité,

Pénétrant ainsi son astuce et détournant sa malignité.

Ô puissant MeLaH(EL),

Préservez-moi, au plus profond de ma détresse,

Du piège consistant à rechercher

Dans une logique froide et implacable,

Exempte de toute sensibilité et de toute émotion,

La solution à mes problèmes et à mes difficultés.

Eveillez donc en moi la vertu d’Espérance,

Afin que je puisse orienter ma conscience

Vers un idéal qui puisse motiver chacune de mes actions.

Gardez-moi enfin,

Ô MeLaH(EL), ma force,

Au départ, au retour, dès lors et à jamais.

Mettant en Dieu mon Espérance,

Que ma conscience s’ouvre aux réalités célestes

Pour que je crois en la lumière

Et que je devienne fils ou fille de lumière,

Accomplissant ainsi mon véritable destin.

Qu’il en soit ainsi ici et maintenant

Pour le plus grand bien de tous

Et pour célébrer la vie