L’ANGE YEIAYEL– L’ARALIM YeYaÏ(EL)

L’ANGE YEIAYEL– L’ARALIM YeYaÏ(EL)

NE(E) ENTRE LE 7 AU  12 JUILLET

 

VOTRE SOLEIL DE 15° à 19°59 DU CANCER

SIGNIFICATION DU SOUFFLE

L'ARALIM YeYaÏ(EL)

L’énergie de l’Aralim YeYaÏ(EL) libère une énergie considérable et nous assure une grande protection face à de terribles puissances. La force du Yod étant ici décuplée, rend possible nos entreprises les plus délicates et permet même de partir de rien, car tous ce qui pousse à partir de YeYaÏ(EL) ne peut être déracinés. Sa Prière devra être répétée du début à la fin du projet.  

 

(Réf. Virya1)

L’Ange Trône YEYAYEL domine la fortune, la renommée, la diplomatie et le commerce. Il influe sur les voyages, les découvertes et les expéditions maritimes. Il protège contre les tempêtes et les naufrages. Nés sous son influence nous aimerons le commerce, serons industrieux et nous nous distinguerons par nos idées libérales et philanthropiques.

 

Le génie contraire Ipos domine sur les pirates, les corsaires et les esclaves. Il influe sur les expéditions maritimes.

 

– (Réf. Lenain2)

  1.  Georges Lahy-Virya, LES 72 PUISSANCES DE LA KABBALE, Les mystères du Shem haMeforash, Georges Lahy, 1999.
  2. Lazare LenainLA SCIENCE CABALISTIQUE, OU L’ART DE CONNAÎTRE LES BONS GÉNIES, Édition Traditionnelles, 32 rue des Fossés Saint-Bernard 75005 Paris, Édition Nouvelles d’après celle de 1909, de l’oeuvre originale écrite par l’auteur en 1823.

Les Aralim sont l’incarnation vivante de la Séphirah Binah (Intelligence). Or Binah, se manifeste sur le plan matériel sous l’apparence de Saturne. Aussi la tradition Kabbalistique attribut au  Aralim YeYaÏ(EL) au même titre qu’à tous les autres Aralim, une tonique majeure Saturnienne.

 

Plus encore, en nous référant à l’arbre Sephirotique des Aralim, nous constatons que   YeYaÏ(El) est également associé à Netzach (Victoire). Les fonctions célestes de YeYaÏ(El) seront donc colorées d’une tonique mineure Vénusienne. Ainsi, la fonction principale de cet Aralim :

 

  • Nous faire Comprendre et Accepter les épreuves jalonnant notre existence terrestre (Tonique Majeur Saturnienne), s’exercera dans un contexte fortement imprégné de valeurs Vénusiennes.

 

En raison de sa coloration Vénusienne, le pouvoir de YeYaÏ(El) se révèle particulièrement efficace pour développer en nous une nature FIDÈLE, SÉRIEUSE, RESPONSABLE et profondément JUSTE étant toujours disponible pour la confidence. De même, cet Aralim nous aide à lutter contre toute tendance à vouloir manipuler autrui pour notre profit en utilisant l’opportunité de la confidence et de l’intimité. YeYaÏ(EL) se révèle alors une aide précieuse pour lutter contre une telle attitude.

 

Confrontés à l’épreuve, sous l’influence bénéfique de YeYaÏ(EL) nous apprenons à développer la VERTU DE JUSTICE conformément aux recommandations de Saint Paul dans son épître aux Romains :

 

Mettez vos membres au service de la justice.

-Romains VI, 19.

 

Il faut entendre par LA VERTU DE JUSTICE cette juste appréciation, reconnaissance et respect des droits de chacun en vue de faire régner entre tous une harmonie de rapports. L’application de cette vertu dans la vie quotidienne fait appel à plusieurs facultés dont notamment l’intégrité et l’impartialité.

 

Cette vertu stimulée par le rayonnement de YeYaÏ(EL) s’enracine plus parfaitement au cœur de notre personnalité grâce à l’exercice de Jeûne. Cette ascèse s’opère tant au niveau Physique, qu’Émotionnel ou Mental et tend à nous épurer de tout ce qui nous est nuisible. Le Jeûne nous permet en outre de bien conscientiser et discerner ce qui est essentiel de ce qui ne l’est pas. Ce serait, en effet, contraire à la VERTU DE JUSTICE que de vouloir juger sans d’abord avoir su discerner en nous-mêmes le bon du mauvais.

 

Par cette Vertu et sous la tutelle de YeYaÏ(EL), nous remplissons alors le rôle de confident et de conseiller auprès de ceux qui souffrent : nous dévoilons, enseignons, transmettons tous ce que nous avons appris dans les épreuves. Pour les Sumériens, Vénus était celle qui montrait la route aux étoiles. Avec YeYaÏ(EL), nous, forts de nos expériences acquises, serons incités à faire régner L’HARMONIE et la PAIX dans notre propre vie comme dans celle d’autrui. C’est parce que YeYaÏ(EL) intervient dans la gestion des rapports entre nous, que la tradition lui attribut en outre un rôle important dans nos transactions humaines et plus particulièrement dans les transactions financières.

 

Force est de constater en ce début de siècle, que l’argent demeure toujours l’un de sujets les plus incomprisYeYaÏ(EL) nous révèle que si l’argent peut apparaître comme un objet de toutes cupidités et provoquer ainsi bon nombre de malheurs, il peut également, géré avec sagesse et discernement, coopérer efficacement aux plans Divins. Nous vivons dans un monde de relations économiques et il ne tient qu’à nous de transmuter l’énergie monétaire afin de la spiritualiser et de l’utiliser pour le bien de l’humanité. L’argent est une pure concrétisation de la matière émotionnelle, un pouvoir d’action entre nos mains.

 

Ainsi, tous ceux qui travaillent dans des milieux où l’argent occupe une grande importance, pourront avoir recours à YeYaÏ(EL), à l’express condition toutefois qu’ils utilisent cet argent pour des œuvres de Lumière et non pour imposer leur volonté à autrui. Ceux qui sont en charge des finances d’un groupe spirituel, d’une société commerciale ou d’une nation peuvent travailler plus particulièrement en collaboration avec YeYaÏ(EL). Il nous confère alors la renommée, des relations utiles et l’habilité dans les affaires commerciales.

 

Enfin, sachant que les Aralim sont directement associés aux épreuves de la vie en leur qualité d’instructeurs, l’influence de YeYaÏ(EL) nous permet plus spécifiquement de mieux comprendre le sens à donner aux événements principalement caractérisé par des revers de fortune, pertes, abus de confiance, vols, usurpations et chantages. Confrontés à de telles épreuves, ceux qui adoptent une attitude de négligence, de paresse ou de dépravation pourront solliciter l’appui de YeYaÏ(EL). Cet Aralim nous permet d’acquérir la droiture nécessaire pour mieux assumer la situation dans un esprit de SÉRÉNITÉ et de PAIX.

L'ARALIM YeYaÏ

Le nom du Aralim YeYaÏ(EL) est constitué d’un radical formé de la lettre YoD répétée trois fois. Ces trois lettres ne forment entre elles aucun mot hébreu significatif. Pour cerner l’enjeu propre à ce Aralim, nous devons donc focaliser notre étude sur l’analyse symbolique de cette lettre. À ce propos, rappelons d’abord qu’elle est issue d’un ancien idéogramme représentant un bras prolongé par une main. En hébreu, la main s’écrit d’ailleurs yad (YoDDaLeTh), un terme très proche du mot YoD. Or ce mot hébreu employé pour désigner la main, signifie également la force et la puissance. À ce titre d’ailleurs, la main est un symbole biblique privilégié pour évoquer l’action de Dieu dans la totalité de sa puissance. Ainsi, l’Ecclésiaste déclare :

 

 » Aux mains du Seigneur est le gouvernement du monde…  »

– Ecclésiastique X, 4.

 

Et lorsque le roi David bénit Dieu, c’est en ces termes qu’il prononce son action de grâces :

 

« La richesse et la gloire te précèdent, tu es maître de tout, dans ta main sont la force et la puissance ; à ta main d’élever et d’affermir qui que ce soit. « . 

-1 Chroniques XXIX, 12.

 

Dans cette perspective, le YoD représente la puissance divine à l’œuvre au sein de l’univers créé pour en assurer le développement plénier. En d’autres termes, elle évoque Dieu en tant qu’artisan façonnant son œuvre selon les desseins qu’Il lui a réservés. Sa main (dont l’idéogramme évoque la lettre YoD) occupe, en conséquence, une place prépondérante, sculptant, modelant et ciselant sa création, l’amenant ainsi à son accomplissement selon les limites qu’Il lui a fixées. À ce titre, il est particulièrement intéressant de constater que la lettre YoD a pour valeur numérologique le nombre 10. En effet, c’est à travers le respect de ses dix commandements (que nous avons déjà évoqués à propos de l’Aralim LEoU(YaH) que l’homme permet à Dieu de le sculpter et de le modeler pour l’amener à son accomplissement. Pensons, à titre d’exemple, à cette parole fort éloquente du psalmiste:

 

 » Tes mains [celles de Dieu] m’ont fait et fixé, fais-moi comprendre, j’apprendrai tes commandements… « , 

– Psaume 119 (118), 73.

 

Ces commandements par lesquels Tes mains (après m’avoir créé et fixé dans mes limites existentielles), me façonneront à la plénitude de ma mesure. Dans la même perspective, notons que le terme hébreu YoD s’écrit YoDVaVDaLeTh. Occupant le centre de ce mot, nous savons que la lettre VaV est issue d’un ancien idéogramme représentant un crochet. En effet, elle incarne un rapport d’union intime et étroite pouvant s’établir entre deux éléments. Plus encore, elle est également considérée comme une représentation privilégiée de l’homme dont la vocation première est d’établir un rapport de communion entre le Créateur et Sa création. Quant au terme yad, formé des deux lettres placées de part et d’autre de cette lettre VaV, il est associé, nous l’avons déjà précisé, à la main. Ainsi, le terme YoD (YoDVaVDaLeTh) évoque la puissance divine symbolisée par l’image de la main, (yad [YoDDaLeTh]) nous façonnant (VaV) en nous amenant ainsi à participer intimement à Sa réalité (ce qu’évoque le VaV central).

 

À ce titre, nous pouvons former à partir des trois lettres YoDVaV et DaLeTh le mot devaï (DaLeThVaVYoD) désignant « la souffrance » ou « la douleur ». Évidemment, il ne s’agit pas ici d’une souffrance destructrice (instituée par l’Esprit du monde), mais d’une souffrance rédemptrice, annonciatrice d’une naissance nouvelle (d’une naissance à la réalité divine). C’est la souffrance de la créature qui enfante, sous la main de Dieu qui la pétrit et la cisèle. Le Nouveau Testament y fait fréquemment référence. Pensons à cette parole de saint Paul :

 

 » Nous le savons en effet, toute la création jusqu’à ce jour gémit en travail d’enfantement. Et non pas elle seule : nous gémissons nous aussi intérieurement dans l’attente de la rédemption de notre corps. « . 

– Romains VIII, 22-23.

 

Pour conforter nos propos, ajoutons simplement que la lettre YoD est l’initiale du tétragramme sacré, Yod-Hé-VaV-Hé, qui incarne, au sein du créé, la présence transcendante de Dieu, une présence permettant à la créature de quitter son état d’inaccomplissement pour s’ouvrir à une réalité qui la transcende, celle de son accomplissement (cette mutation exigeant une mort, une souffrance qui n’est pas, rappelons-le, un retour au néant, mais un passage vers une vie nouvelle insaisissable, infiniment différente de celle que chacun connaît actuellement). Ainsi, nous pouvons en déduire que le Aralim YeYaÏ(EL) nous invite à nous laisser façonner par Dieu, ne Lui opposant plus aucune résistance, mais nous en remettant au contraire à Son désir (dont le décalogue notamment en exprime les modalités). Dans son ouvrage Contre les Hérésies, saint Irénée de Lyon évoque en des termes admirables cet enjeu que nous propose cet Aralim:

 

« Puisque tu es l’œuvre de Dieu, attends la main de ton artisan ; il fait tout comme il convient, il le fait comme il convient à toi, qui est modelé. Offre-lui un cœur souple et docile, garde l’empreinte que te donne l’artisan, aie en toi quelque chose de malléable, pour ne pas perdre par ta dureté la trace de ses doigts. En gardant le modèle, tu monteras vers la perfection, car l’art de Dieu voilera en toi ce qui n’est que limon. Ses mains ont façonné en toi ta substance, il te recouvrira d’or pur et d’argent au-dedans et au-dehors, il t’ornera tellement que le roi lui-même désirera ta beauté. Mais si tu t’endurcis et méprises son travail, si tu es ingrat à son égard parce que tu es devenu homme, tu es ingrat envers Dieu, tu perds en même temps son image et sa vie. Créer est le propre de la bonté de Dieu, être créé est le propre de la nature humaine. Si tu lui livres ce que tu as en propre, c’est-à-dire ta foi et ton obéissance, tu recevras son art, tu seras l’œuvre parfaite de Dieu. « .

– Cité dans l’ouvrage Printemps de la théologie, Apologistes grecs du deuxième siècle, Irénée de Lyon, textes choisis et traduits par Lucien Deiss, Editions Fleurus, Paris, 1965.

 

En des termes plus concrets, nous pourrions dire qu’il nous invite à nous laisser façonner par l’amour au sein même de notre existence, ne lui opposant plus aucune résistance, mais nous laissant transporter là où Dieu nous mène. Il nous incite ainsi à unir notre désir à celui de l’autre, transcendant du même coup nos propres limites tout en y demeurant pourtant établi, puisque l’amour ne peut exister qu’au sein d’une relation où chacun conserve face à l’autre ses propres spécificités (son altérité).

Nous savons que les Aralim sont étroitement associés à l’archétype incarné par Saturne. La tradition hermétique attribue donc à YeYaÏ(EL) (au même titre qu’à tous les Aralim ) un enjeu essentiellement saturnien consistant à découvrir nos limites existentielles et à les assumer pleinement.

 

Plus encore, selon les hermétistes, YeYaÏ EL) est associé secondairement à Vénus. Son rayonnement sera donc coloré d’une tonique mineure vénusienne. Or cette planète évoque fondamentalement une puissance attractive (instaurant un rapport d’union ou de communion privilégiée entre deux réalités). Le principal enjeu de YeYaÏ(EL) :

 

  • Consistera donc à assumer nos limites existentielles dans le cadre d’un rapport d’union ou de communion privilégiée avec l’autre.

 

Dans cette perspective, il stimulera tout particulièrement notre aptitude à assumer les contingences de l’existence en nous appuyant sur les valeurs affectives et attractives (sur celles du cœur). En ce sens, YeYaÏ(EL) pourra nous amener à développer une aptitude à nous en remettre avec confiance entre les mains de l’autre qui nous aidera à assumer nos faiblesses. De même, il nous protégera contre toute tendance à nous appuyer sur l’autre, en cherchant par ailleurs à l’entraîner dans notre direction. Ainsi, il nous aidera à combattre toute tendance à manipuler les autres par le biais des sentiments (faisant le jeu de la fausse victime).

 

Considérant ses toniques planétaires, cet Aralim est invoqué pour exalter, au niveau ne notre thème astrologique, tout aspect consonant entre Saturne et Vénus ou pour harmoniser tout aspect dissonant entre ces deux planètes.

 

Pour illustrer l’influence de YeYaÏ(EL) sur la conscience humaine, nous avons choisi un conte espagnol, celui du garçon de l’île de Majorque.

En effet, cette histoire décrit admirablement cette capacité à surmonter l’épreuve en s’appuyant sur les valeurs affectives que l’Aralim YeYaÏ(EL) éveille et développe en nous.

 

Ainsi, ce conte rapporte qu’un riche Maure vivait autrefois dans une ville espagnole du sud de l’Andalousie Tout ce qu’il pouvait désirer, il le possédait. Mais il n’était pas heureux car il était aveugle. Cet homme vivait seul dans son palais en compagnie d’un jeune esclave qu’il avait acquis pour une poignée d’argent.

 

    Il s’était mis à aimer cet esclave comme son propre fils et ils bavardaient ensemble pendant de longues soirées, le garçon lui parlant et lui décrivant les roses, les étoiles étincelantes dans le ciel, l’eau de la source et la couleur des nuages au coucher du soleil. Un jour, le jeune esclave demanda à revenir dans sa famille y passer quelques jours. Le Maure hésita avant de le laisser partir car il craignit que le garçon ne revienne pas. Mais il aimait son jeune ami et voulait lui faire plaisir, lui laisser revoir ces montagnes magiques de son enfance dont il parlait si souvent.

 

    Il laissa donc le jeune esclave partir. Huit jours après, le jeune esclave revint avec sept paires de sandales, chaque paire ayant été chaussé un jour différent de la semaine. Le jeune garçon donna alors à son maître la première paire de sandales (celles qu’il avait porté le lundi) en lui disant de les porter à ses yeux et d’en effleurer ses paupières. Il tendit ensuite à son maître la paire de sandales qu’il avait porté le mardi, puis celle du mercredi, du jeudi, du vendredi, du samedi et du dimanche. Le Maure appuya chaque paire de sandales contre ses yeux. Lorsqu’il effleura ses yeux avec la dernière paire de sandale, le voile de la nuit se déchira soudain et il recouvra la vue.

 

    Ainsi, sous le rayon de l’Aralim YeYaÏ(EL), le maître sut développer une relation affective avec l’autre et s’y appuyer fermement pour surmonter l’épreuve face à laquelle il se retrouvait confronté. Il recouvra ainsi la vue. Plus encore, sur un plan symbolique, il peut être intéressant de constater que ces sept paires de sandales représentent en fait les sept qualités d’expression dynamique fondamentales (les sept énergies planétaires) que le jeune garçon (symbolisant la polarité masculine soit encore la fonction émissive et active de l’esprit (le maître)) expérimente dans la matière.

 

    Ce jeune garçon rapporte alors la somme de ces expériences à son maître(l’esprit) qui, fort désormais de ces expériences, s’éveillera et se manifestera pleinement dans la matière (le maître recouvre la vue et prend conscience du monde qui l’entoure).

SUR LES TROIS PLANS DE L’ÊTRE

Nous sommes amenés à assumer notre condition existentielle en sachant nous placer à l’écoute de notre force de désir nous incitant à participer aux réalités de notre milieu et à endosser les limites et les contingences dans lesquelles elles s’inscrivent en agissant désormais dans le cadre qu’elles nous proposent.

 

Par ailleurs, nous devons également nous protéger contre toute tendance à pervertir le désir ressenti vis-à-vis du crée, celui-ci ne devenant plus une force de transcendance, mais une puissance d’aliénation contribuant à nous enfermer toujours davantage dans les limites de notre finitude. 

Nous sommes invités à assumer nos limites dans notre relation en sachant unir notre désir au sien, nous affranchissant ainsi des limitations de notre moi tout en demeurant fermement établi dans notre intériorité, l’amour ne pouvant être vécu qu’au sein d’une relation où chacun conserve face à l’autre ses spécificités, son altérité.

 

En ce sens, nous devons également lutter contre toute tendance à refuser de nous ouvrir au désir de l’autre, tentant au contraire de l’assujettir au notre, le privant ainsi de son altérité pour en faire un miroir où nous contempler. Notre désir étant alors une force d’enfermement et d’aliénation.

Nous sommes conduits à accepter pleinement notre condition existentielle en nous laissant façonner par l’Ineffable, ne lui opposant plus aucune résistance, mais nous en remettant au contraire à Son désir, nous laissant transporter là où il nous mène. Autrement dit, nous sommes incités à unir notre désir au Sien, transcendant ainsi les limites de notre nature profonde tout en y demeurant pourtant fermement établie.

 

Nous devons également lutter contre toute tendance à refuser de nous laisser façonner par l’Ineffable. Cherchant au contraire à Le ramener dans le cadre de nos propres limites, nous l’appropriant en quelque sorte, en l’assujettissant à nos désirs égocentriques, le transformant ainsi en une véritable idole. 

De couleur métallique, elle est associée

 

SUR LE PLAN PHYSIQUE

  • La PYRITE donne une excellente mémoire.

 

  • Stimule les facultés intellectuelles.

 

  • De par sa forte teneur en Fer, elle est en résonance avec la teneur en fer du sang.

 

  • Elle développe les capacités de résistance à la fatigue,

 

  • Augmente la capacité de travail intellectuel.

 

SUR LE PLAN EMOTIONNEL ET MENTAL

 

  • Sa couleur dorée à éclat métallique en fait une pierre à la fois physique, intellectuelle, voire spirituelle.

 

  • La PYRITE est une pierre concrète, constructive, rigoureuse.

 

  • Elle donne le sens de l’organisation à ceux qui en sont dépourvus.

 

  • La PYRITE est un excellent stimulateur de la mémoire tout en la reliant aux capacités créatives.

SUR LE PLAN SPIRITUEL

  • La PYRITE Permet de comprendre l’alliance intime du métal et du feu, de s’imprégner des énergies vives du magma terrestre.
LE PENTACLE DE L'ARALIM YeYaÏ(EL)

Fabriqué sous son influence 

 

Favorise la réussite des entreprises et protège des accidents marins.

 

Psaume 121 verset 5 :

 

Adonaï Shomerekha Adonaï Tsilekha Âl-Yad Yeminekha

Yhwh est ton gardien, ton ombrage, Yhwh, à ta droite

La composition de l’encens de l’Aralim YeYaÏ(EL) est déterminée par ses correspondances astrologiques. D’un point de vue technique, notons en outre que cette composition, qui est utilisée, pour l’exercice d’harmonisation varie selon l’Aralim .

 

 

L'AROMATES DE SATURNE - LE STORAX
L'AROMATE DE VENUS : LE SANTAL

Divin YeYaÏ(EL) ,

Qui révélez la droite de Dieu,

Eveillez en moi la vertu de justice.

Que je puisse alors, par une juste appréciation des choses,

Promouvoir le respect des droits de chacun

Et faire ainsi régner en tous une véritable harmonie.

Que j’exprime ainsi ma volonté,

Conformément aux plans divins,

Sachant qu’être un disciple de la lumière

C’est avant tout exprimer de l’amour pour les autres.

Ô puissant YeYaÏ(EL),

Mon gardien tel mon ombre,

Apprenez-moi également

A être toujours disponible

Pour la confidence,

Sachant discerner ce qui est essentiel

De ce qui ne l’est pas.

Accordez-moi enfin,

Ô YeYaÏ(EL), ma force

Une juste appréciation de l’argent.

Faites donc qu’entre mes mains

Il ne soit plus un objet de cupidité,

Mais une formidable ressource

Gérée avec sagesse et discernement,

Pouvant m’aider ainsi à coopérer efficacement

A la réalisation des plans divins.

Qu’il en soit ainsi ici et maintenant

Pour le plus grand bien de tous

Et pour célébrer la vie