L’ANGE CALIEL- L'ARALIM KiLI(EL)

L’ANGE CALIEL- L'ARALIM KiLI(EL)

NE(E) ENTRE LE 17 AU  21 JUIN

 

VOTRE SOLEIL DE 25° à 29°59 DU GEMEAUX

SIGNIFICATION DU SOUFFLE

L'ARALIM KiLI(EL)

L’énergie de l’Aralim KilY(EL) nous permet de rendre une sentence équitable, en favorisant notre harmonie intérieure. Il ouvre en nous nos capacités de réception et d’acceptation de l’autre, écartant ainsi tout à priori. Il nous rend plus intègre et inspire nos décisions. 

 

– (Réf : Virya1)

L’ANGE TRÔNES CALIEL(EL) nous fait connaître la vérité dans les procédures, il fait triompher l’innocence, il confond les coupables et les faux témoins. Nés sous sont influence nous serons justes et intègres, aimerons la vérité, et nous nous distinguerons dans la magistrature.

 

Le génie contraire MACHIN domine sur les procès scandaleux, il influe sur les hommes vils, bas et rampants, et ceux qui cherchent à embrouiller les affaires et à s’enrichir aux dépens de leurs clients. 

 

– (Réf. Lenain2)

  1.  Georges Lahy-Virya, LES 72 PUISSANCES DE LA KABBALE, Les mystères du Shem haMeforash, Georges Lahy, 1999.
  2. Lazare LenainLA SCIENCE CABALISTIQUE, OU L’ART DE CONNAÎTRE LES BONS GÉNIES, Édition Traditionnelles, 32 rue des Fossés Saint-Bernard 75005 Paris, Édition Nouvelles d’après celle de 1909, de l’oeuvre originale écrite par l’auteur en 1823.

Les Aralim sont l’incarnation vivante de la Séphirah Binah (Intelligence). Or Binah, se manifeste sur le plan matériel sous l’apparence de Saturne.  Aussi la tradition Kabbalistique attribut au  Aralim  KilY(EL) au même titre qu’à tous les autres Aralim, une tonique majeure Saturnienne.

 

Plus encore, en nous référant à l’arbre Sephirotique des Aralim , nous constatons que   KilY(EL) est également associé à  Binah (Intelligence). Les fonctions célestes de KilY(EL) seront donc colorées d’une tonique mineure Saturnienne. Ainsi, la fonction principale de cet Aralim :

 

  • Nous faire Comprendre et Accepter les épreuves jalonnant notre existence terrestre (Tonique Majeur Saturnienne), s’exercera dans un contexte fortement imprégné de valeurs Saturniennes.  

En Raison de sa coloration Saturnienne, le pouvoir de KilY(EL) se révèle particulièrement efficace pour développer en nous un esprit sérieux, réfléchi, profond manifestant beaucoup de persévérance et un remarquable sens de l’analyse, peu enclin à nous exprimer, mais sachant cependant faire preuve d’une grande maîtrise de nous-même. De même, l’Aralim  KilY(EL) nous aide à lutter contre toute tendance psychique transformant notre maîtrise de nous-mêmes en carence totale de souplesse et en une grande dureté rejetant impitoyablement toute émotion. KilY(EL) se révèle alors une aide précieuse pour lutter contre un tel Comportement.

 

Confrontés à l’épreuve, sous l’influence Bénéfique de KilY(EL), nous apprenons à développer la vertu de prudence conformément aux recommandations du Christ à ses Apôtres :

 

” Voici que je vous envoie comme des brebis au milieu des loup; montrez-vous donc prudents comme des serpents et candides comme des colombes “ -Mathieu X, 16.

 

Il faut entendre par la prudence une attitude qui, réfléchissant à la portée et aux conséquences de chaque acte, prenons les dispositions qu’il convient pour éviter ainsi toute erreur ou tout malheur possible. L’application de cette vertu dans notre vie quotidienne fait appel à plusieurs facultés dont la Mémoire, le Discernement, la Sagacité, la Perspicacité ou encore la Prévoyance.

 

Les enseignements nous précisent que cette Vertu stimulée par le rayonnement de KilY(EL) s’enracine plus parfaitement au cœur de notre personnalité grâce à l’exercice de Méditation en Silence. C’est pourquoi cette ascèse est la première dimension de tout entraînement Spirituel. Aussi sommes-nous rapidement introduits à la signification de l’antique Adage Maçonnique : Audi, Vide, Tace, c’est-à-dire” Entends, vois, tais-toi”. Ce serait en effet contraire à la Vertu de Prudence que de vouloir s’exprimer sans d’abord avoir su intérioriser et assimiler les expériences vécues.

 

Sur le plan Initiatique, KilY(EL) est également considéré comme l’Ange du Grand Œuvre. Toute la quête Alchimique se résume en un désir véhément de transcender les éléments vils de notre nature et, par ce fait, tous les plans de conscience de nous-mêmes. Seule l’épuration nous conduit à l’obtention de la Pierre Philosophale à l’origine d’une grande puissance : Guérison, Transmutation des Métaux, etc. ; A ce titre la tradition précise que l’Aralim  KilY(EL) exerce une influence considérable contre les forces régressives alimentant et générant nos basses émotions humaines, réduisant ainsi jour après jour l’emprise des Hiérarchies Noires sur l’humanité. C’est pourquoi tous les exorcistes ayant reçu des mains de leur initiateur le pouvoir d’ordonner à ces puissances négatives (Qliphoth), bénéficient de l’appui privilégié de KilY(EL).

 

Enfin, Sachant que les Aralim  sont directement associés aux épreuves de la vie en leur qualité d’instructeurs, l’influence de KilY(EL) nous permet plus spécifiquement de mieux comprendre le sens à donner aux événements principalement caractérisés par le temps ; la durée de ceux-ci ou de leurs conséquences s’avérant relativement longue. Confrontés à de telles épreuves, nous laissant emporter par un noir pessimisme, une tristesse chronique, une résignation ou de profondes tendances maniaco-dépressives, nous pourront alors solliciter l’appui de KilY(EL). Ce Trône nous permettra d’acquérir le calme et la persévérance nécessaire pour mieux assumer la situation dans un esprit de Sérénité et de Paix.

L'ARALIM KiLY

Le nom du Aralim KilY(EL) est constitué d’un radical composé des lettres KaPhLaMeD et YoD à partir desquelles nous pouvons extraire le terme kelî (KaPhLaMeDYoD) désignant « le vêtement ». Nous pouvons également former à partir de ce radical la racine (KaPhYoDLaMeD) qui, prononcée kiyél, désigne « la mesure », qui, prononcée kiyél, signifie « mesurer » ou « arpenter » et qui, prononcée kayil, indique « l’arpenteur ». Quant à la particule EL, elle place ce radical dans une perspective de relation à Dieu. Pour saisir la signification profonde et l’enjeu auquel cet Aralim se réfère, entreprenons donc l’analyse symbolique des mots que nous pouvons en tirer.

 

En ce sens, nous débuterons par l’image du vêtement. En effet, le vêtement extériorise toujours, dans une perspective traditionnelle, une fonction ou un état, la condition de l’homme et les limites dans lesquelles il peut s’exprimer et agir. Ainsi, à l’époque de l’Antiquité, on savait d’un simple coup d’œil de quel pays ou de quelle région était originaire un homme en considérant sa façon de s’habiller. Plus encore, on savait également la stratification sociale à laquelle il appartenait puisque, selon la tripartition classique, les rois et les prêtres (fonction sacerdotale), les guerriers (fonction militaire) et les travailleurs (fonction productrice) portaient des vêtements spécifiques à leurs activités.

 

« D’ailleurs, de façon générale, et dans toutes les sociétés, il semble bien que l’on retrouve ces distinctions puisque le chaman asiatique ou le sorcier africain portent des pièces d’habillement qui leur sont réservées, et que les guerriers ou les soldats revêtent, selon les époques et les lieux, des casaques, des tuniques, des cuirasses, des armures, des tenues, bref, d’une manière ou d’une autre, des “uniformes” qui les distinguent à coup sûr. On est même allé encore beaucoup plus loin puisque, non seulement les esclaves ont toujours dû s’habiller d’une façon qui les distinguait du reste de la société, mais la tendance a presque toujours été, à l’intérieur d’une même fonction, à différencier les rôles et les états: le grand brahmane ne s’habille pas de la même façon qu’un renonçant en Inde, un évêque qu’un simple curé en Occident, ni d’ailleurs le clergé séculier que le clergé régulier (moines) – de même qu’un officier a traditionnellement droit à des signes distinctifs par rapport à ses soldats, ou que, dans la classe productrice, et jusqu’au début de ce siècle, un bourgeois disposait de ses codes vestimentaires, différents de ceux d’un artisan ou d’un paysan. ».

Encyclopédie des symboles, Édition française établie sous la direction de Cazenave, Michel, La Pochothèque, Le livre de Poche, Paris, 1996.

 

Ainsi, le vêtement exprime la place (la condition) que l’homme occupe en ce monde, tant au niveau de l’espace que du temps. En effet, si on savait autrefois reconnaître de quel pays ou de quelle région un individu était originaire en considérant sa seule façon de s’habiller, l’historien peut aussi savoir à quelle époque appartient un homme en considérant son vêtement. Le vêtement incarne donc la condition spatio-temporelle de l’homme et les limites dans le cadre desquelles s’inscrit son existence. C’est d’ailleurs pourquoi les sages de certaines castes religieuses de l’Orient vivent nus, exprimant ainsi le fait qu’ils sont en voie d’accomplissement et qu’ils se sont dégagés conséquemment des contingences de l’espace et du temps. C’est peut-être également dans la même perspective qu’il faut traduire le fait que le Christ est représenté nu sur la croix. De même, si les dieux grecs sont généralement nus ou presque, c’est pour souligner le fait qu’ils sont au-dessus de la condition humaine. Enfin, si l’Ancien de la vision de Daniel apparaissant siégeant sur un trône est vêtu de blanc, c’est aussi pour nous révéler que Dieu transcende toute limite spatio-temporelle :

 

« Tandis que je contemplais : Des trônes furent placés et un Ancien s’assit. Son vêtement, blanc comme la neige… ». 

– Daniel VII, 9. 14

 

Dans le même ordre d’idée, sitôt après l’événement de la Chute au cours duquel Adam et Ève répondirent à la proposition de Satan de « devenir comme des dieux » (c’est-à-dire de ne plus être créature, de ne plus être faible et impuissant, de ne plus assumer leur condition spatio-temporelle et les limites qu’elle fixe à leur existence), Dieu les renvoya du jardin d’Éden en les revêtant de tuniques de peau :

 

« Le Seigneur Dieu fit à l’homme et à sa femme des tuniques de peau et les en vêtit ». 

– Genèse III, 21.

 

Nous pourrions interpréter ce geste comme une ultime recommandation divine rappelant à l’homme qu’il est ontologiquement créature et qu’en conséquence vouloir prétendre occuper une autre place que celle qui lui revient (devenir un dieu) le conduira à sa propre perte.

 

Quant au fait de « mesurer » ou « d’arpenter », deux autres mots que nous avons extraits du radical, nous savons que l’arpentage est une science qui détermine un espace délimité dans lequel l’homme habite (maison) ou travaille (champs). Elle évoque donc la juste place qui lui revient dans l’univers. Les textes bibliques font d’ailleurs souvent référence à l’image d’un Dieu arpenteur donnant à chaque être et à chaque chose la juste place qui lui revient. Ainsi, Dieu s’adresse à Job en ces termes :

 

« Où étais-tu quand je fondai la terre ?

Parle, si ton savoir est éclairé.

Qui en fixa les mesures, le saurais-tu, ou qui tendit sur elle le cordeau ? […I

Qui enferma la mer à deux battants, quand elle sortit du sein, bondissante ; quand je mis sur elle une nuée pour vêtement et fis des nuages sombres ses langes ; quand je découpai pour elle sa limite et plaçai portes et verrou ?

“Tu n’iras pas plus loin, lui dis-je, ici se brisera l’orgueil de tes flots !” ».

– Job XXXVIII, 4-11.

 

Le psalmiste reprendra ces propos :

 

« À ta menace, les eaux prennent la fuite, à la voix de ton tonnerre, elles s’échappent ; elles sautent les montagnes, elles descendent les vallées vers le lieu que tu leur as assigné ; tu mets une limite à ne pas franchir, qu’elles ne reviennent couvrir la terre. ».

– Psaume 104 (103), 7-9.

 

Nous pouvons donc en déduire que l’Aralim KilY(EL) nous invite à accepter pleinement notre condition en occupant notre juste place au sein de l’univers (la place qui est à notre juste mesure). De manière plus tangible encore, il nous apprendra également à percevoir la place qui nous revient au sein de la communauté et de l’époque à laquelle nous appartenons. Il nous enseignera ainsi à ne plus chercher à occuper la place d’autrui (qui peut apparaître, à travers nos illusions égoïques, plus valorisante), refusant d’assumer la nôtre (nous rebellant trop souvent contre ceux qui nous ont mis au monde, les considérant comme responsables de notre condition actuelle). À ce titre, on raconte qu’interroger sur sa principale source de souffrance en cette vie, le Padre Pio aurait répondu sans hésitation :

 

« L’Église ! ». Toutefois, il aurait ajouté immédiatement : « Si le Bon Dieu m’a mis là, c’est que je dois y être. ». Ces propos révèlent parfaitement l’enjeu que l’Aralim KilY(EL) nous propose.

 

Nous savons que les Aralim sont étroitement associés à l’archétype incarné par Saturne. La tradition hermétique attribue donc à KilY(EL) (au même titre qu’à tous les Aralim) un enjeu essentiellement saturnien consistant à découvrir ses limites existentielles et à les assumer pleinement. Plus encore, selon les hermétistes, KilY(EL) est aussi associé secondairement à Saturne. Son rayonnement sera donc à nouveau coloré d’une énergie saturnienne. Or cette planète évoque une aptitude à renoncer à toute forme d’expression égoïque. Il est donc aisé d’en déduire que KilY(EL) nous amènera à assumer nos limites existentielles en sachant faire taire toute forme d’expression égoïque.

 

Dans cette perspective, il stimulera tout particulièrement notre aptitude à assumer les contingences de notre existence en sachant faire preuve de beaucoup d’endurance et de persévérance, supportant des conditions de vie extrêmement dures, résistant à tous les types d’agressions ou de nuisances et sachant nous priver de toutes satisfactions immédiates (maturité et sobriété) pour y parvenir. Ainsi, si nous nous plaçons sous le rayon de KilY(EL), nous pourrons recourir à un certain sens du dépouillement et de l’abnégation pour mieux accepter nos faiblesses et nos blocages ou encore pour mieux transcender nos angoisses face à un sentiment de finitude et de vulnérabilité face au monde qui nous entoure. Enfin, cet Aralim nous aidera à lutter contre toute tendance à manifester une nature fataliste, résignée et négative face aux limitations et aux contingences de l’existence, développant diverses formes d’amertume, de mépris, de déception et de désillusion.

 

Considérant ces toniques planétaires, cet Aralim  est invoqué pour exalter, au niveau de notre thème astrologique, la position bénéfique de Saturne (en domicile ou exaltation) ou pour harmoniser sa position affligée (en chute ou exil).

Pour illustrer l’influence de KiLY(EL) sur la conscience humaine, nous avons choisi le Conte d’Ali Baba et les quarante voleurs, un conte des Mille et une nuits.

En effet, cette histoire décrit admirablement la prudence et la perspicacité que le Aralim KiLY(EL) éveille et développe en nous. Ainsi, ce conte rapporte qu’Ali Baba avait invité chez lui un riche marchand apparemment venu d’une contrée lointaine. Ce marchand possédait trente-neuf outres de cuir. Ces outres n’inspiraient guère confiance à Morgiane, la servante fidèle et dévouée d’Ali Baba.

 

    Ainsi, la nuit tombée, elle se glissa dans l’arrière-cour où les outres de cuir avaient été entreposées. Elle toucha légèrement l’une d’elles, et il s’en échappa ces mots prononcés d’une voix chuchotante: “C’est l’heure ?”; “Pas encore !” répondit-elle avec sang-froid. Elle toucha l’outre voisine. La même demande lui fut faite et elle répondit de nouveau: “Pas encore !”. Chaque outre contenait un homme prêt à intervenir. La bande des quarante voleurs dont le chef avait juré d’avoir la tête d’Ali Baba était réunie là au grand complet.

 

    Morgiane prit immédiatement les mesures qui s’imposaient. Elle alla à la cuisine et mit sur le feu un chaudron rempli d’huile. Quand celle-ci fut bouillante, elle en porta une jarre dans la cour. A l’aide d’une formule magique, elle jeta un sort sur la jarre, puis versa le liquide brûlant par le trou d’aération en haut de l’outre de cuir. Un cri de douleur étouffé s’échappa du récipient. Morgiane passa au suivant, et répéta l’opération sur toutes les outres. En quelques instants, s’éleva un concert de gémissements et de jurons, les outres furent agitées de soubresauts, mais le lien qui les fermait tint bon. Et quand les cris d’agonie cessèrent, Morgiane recula dans l’ombre…

 

    Morgiane représente cette personnalité éclairée, au service de l’esprit (symbolisé par Ali Baba). Sensible au rayon de KiLY(EL) qui lui infuse à la fois la prudence, la persévérance et la perspicacité nécessaires, elle s’enquiert de la nature des outres étranges (symbolisant les expériences de la vie). Morgiane arrive ainsi à protéger Ali Baba d’un piège subtil fomenté par l’attitude vengeresse des quarante voleurs (représentant les puissances de ce monde qui tentent constamment de s’opposer à la manifestation complète de l’esprit dans la matière).

SUR LES TROIS PLANS DE L’ÊTRE

Nous sommes invités à assumer la place que nous occupons au sein du pays et de l’époque auxquels nous appartenons. Nous sommes conduits ainsi à nous enraciner pleinement dans notre milieu. Nous devons également remplir les responsabilités sociales qui nous incombent de manière mature et sérieuse, avec persévérance et endurance.

 

Nous devons également lutter contre tout sentiment plus ou moins diffus de ne pas être à notre place, de ne pas appartenir à notre époque, nous projetant volontiers en des temps pourtant maintenant révolus ou d’être étrangers à notre ville, à notre région ou notre pays.

Nous sommes amenés à assumer, avec beaucoup de maturité et de sobriété, la place que nous occupons dans le cadre de notre relation à l’autre, et conséquemment à accepter les fonctions et les échanges qui nous reviennent. A ce titre, nous sommes conduits à développer un important sens des responsabilités dans notre relation à l’autre.

 

Nous devons aussi lutter contre toute propension à vouloir occuper la place d’autrui, qui peut apparaître, à travers nos illusions égoïques, plus valorisante, refusant d’assumer la nôtre que nous rejetons totalement. 

Nous sommes conduits à accepter pleinement la place que la vie nous a attribuée, l’assumant ainsi humblement, avec un remarquable sens de l’abnégation et du dépouillement les conséquences, et parfois les épreuves qui en découlent.

 

Nous devons de même proscrire toute tendance à nous rebeller contre la Divinité Elle-même, nous morfondant «  sur notre triste sort » dans une attitude de résignation et de fatalisme propice à la dépression et à la morbidité.

De couleur verte, elle est associée :

 

 

SUR LE PLAN PHYSIQUE

L’AMAZONITE est une pierre d’accompagnement dans les situations suivantes :

 

  • Tendances dépressives.

 

  • Carences sexuelles consécutives à une forte émotivité.

SUR LE PLAN EMOTIONNEL ET MENTAL

 

L’ AMAZONITE est proche de la Turquoise avec une tendance plus marquée du vert pâle.

 

 

  • Chakra Cœur: certitude du sentiment de tendresse vers une personne aimée, perception du sentiment réciproque, sensation de bonheur.

 

  • Apaisement des sentiments de frustration. Renforcement des comportements Yin (Féminins)

 

  • Chakra de la Gorge: expression spontanée de la tendresse, douceur et vérité du discours amoureux.

SUR LE PLAN SPIRITUEL

Son infinie sérénité dans la certitude du bien rend L’AMAZONITE sélective :

 

  • les pensées négatives ne l’atteignent pas.
LE PENTACLE DE L'ARALIM KiLY(EL)

Fabriqué sous son influence 

 

Aide la Mémoire et l’Intelligence

 

Psaume 7 verset 9 :

Adonaï Yadin Amin Shaphetheni Adonaï Ketsideqi Oukhetoumi ‘Alay

Yhwh est l’arbitre des peuples.

Juge-moi Yhwh, selon ma justice et mon intégrité.

La composition de l’encens de l’Aralim KiLY(EL) est déterminée par ses correspondances astrologiques. D’un point de vue technique, notons en outre que cette composition, qui est utilisée, pour l’exercice d’harmonisation varie selon l’Aralim .

 

L'AROMATES DE SATURNE - LE STORAX

Divin KiLY(EL),
Qui êtes prompt à secourir,
Éveillez en moi le désir véhément
de transcender les éléments vils
que ma personnalité recèle.
Réduisez, jour après jour,
l’emprise des hiérarchies noires sur mon être.
O puissant KiLY(EL),
Qui louez Celui qui me juge
Selon ma justice et mon intégrité,
Faites que je développe en outre, face aux épreuves,
un esprit sérieux et réfléchi,
profond et persévérant.
Evitez-moi, de même, de me cristalliser sur l’épreuve
et de faire de celle-ci mon éternel présent,
sombrant alors dans la tristesse,
le noir pessimisme et la mélancolie.
Enfin, éveillez en moi,
Ô KiLY(EL), ma force,
La vertu de prudence.
Réfléchissant alors à la portée
Et aux conséquences de chacun de mes actes,
je pourrai prendre les dispositions qui conviennent
afin d’éviter toute erreur
ou tout malheur pouvant en résulter.
Brebis au milieu des loups,
je me montrerai dorénavant
prudent comme le serpent
et candide comme la colombe.

Qu’il en soit ainsi ici et maintenant

Pour le plus grand bien de tous

Et pour célébrer la vie