NE(E) ENTRE LE 3 et le 7 DECEMBRE
VOTRE SOLEIL DE 10° à 14°59 DU SAGITTAIRE
SIGNIFICATION DU SOUFFLE
L’énergie du Tarchichim HaH’aSh (YaH) domine les forces naturelles dans les règnes : minéral, végétal et animal. L’utilisation de son énergie favorise les actes magiques s’appuyant sur ces plans d’existence. Son énergie développe notre l’intuition quant à l’utilisation des plantes dans un dessein thérapeutique et aide à recevoir les messages subtils que nous adressent les différentes règles de la nature. La prière au Tarchichim HaH’aSh(YaH) favorise la perception des messages psychiques.
– Réf. Virya(1)
L’Ange Principauté HAHASIAH sert pour élever notre âme à la contemplation des choses divines, et pour découvrir les mystères de la sagesse. HAHASIAH domine sur la chimie et la physique ; il révèle les grands secrets de la nature, notamment la pierre philosophale et la médecine universelle. Nés sous cette influence nous aimerons les sciences abstraites ; nous nous attacherons particulièrement à connaître les propriétés et les vertus attribuées aux animaux, aux végétaux et aux minéraux ; nous nous distinguerons dans la médecine par ses cures merveilleuses, et nous ferons plusieurs découvertes utiles à la société.
Le génie contraire BALAAM domine sur les charlatans, et sur ceux qui abusent de la bonne foi des personnes en leur promettant des choses extraordinaires.
– (Réf. : Lenain 2).
- Georges Lahy-Virya, LES 72 PUISSANCES DE LA KABBALE, Les mystères du Shem haMeforash, Georges Lahy, 1999.
- Lazare Lenain, LA SCIENCE CABALISTIQUE, OU L’ART DE CONNAÎTRE LES BONS GÉNIES, Édition Traditionnelles, 32 rue des Fossés Saint-Bernard 75005 Paris, Édition Nouvelles d’après celle de 1909, de l’oeuvre originale écrite par l’auteur en 1823.
Les Tarchichim sont l’incarnation vivante de la Sephirah Netzach (Le monde mental). Or Netzach, nous l’avons vu, se manifeste sur le plan matériel sous l’apparence de Vénus. Aussi, la tradition kabbalistique attribue au Tarchichim HaH’aSh(YaH) au même titre qu’à toutes les autres Tarchichim une tonique majeure Vénusienne.
Plus encore, en nous référant à l’arbre Séphirothique des Tarchichim, nous constatons que HaH’aSh(YaH) est également associée à Chesed (la Grâce). Les fonctions célestes de HaH’aSh(YaH) seront donc colorées une tonique mineure Jupitérienne. Ainsi, la fonction principale du Tarchichim HaH’aSh(YaH) :
- Sensibiliser notre Être à l’expérience de l’amour, de l’esthétisme et de la beauté (tonique majeure vénusienne), s’exercera dans un contexte fortement imprégné de valeurs Jupitériennes.
En raison de sa coloration Jupitériennes, le pouvoir de HaH’aSh(YaH) se révèle donc particulièrement efficace pour développer en nous, un amour se caractérisant principalement par des sentiments sincères et authentiques, marqués par une joie profonde. De même, HaH’aSh(YaH) nous aide à lutter contre toute prétention, désir de paraître, tendance aux excès, à la jouissance. Si nous sommes enclins à ne pas faire confiance à l’autre, à nous montrer méfiant et jaloux à l’excès, nous trouverons auprès de HaH’aSh(YaH) un soutien efficace pour réformer un tel comportement.
En fait, L’AMOUR inspiré par HaH’aSh(YaH) est un amour rayonnant basé sur la confiance. Faire confiance à l’autre et certainement l’aspect le plus sincère dans l’acte d’aimer, dans la mesure où il implique de nous, une ouverture complète de nous-mêmes au risque, de donner à l’autre les outils de notre propre destruction. Mais c’est dans cet amour où la transparence et l’authenticité sont recherchées, que nous prenons peu à peu conscience de la présence de l’Ineffable au plus profond de notre être, cet élément originel dont il est issu, cette lumière spirituelle qui fit dire à Saint Paul dans son épître Thessaloniciens :
» Tous, vous êtes des fils de la lumière, tes fils du jour. « .
(Thessaloniciens V, 5.)
Ainsi, fort de cet amour où la confiance en nous-mêmes et en l’autre nous amène finalement à faire confiance à Dieu, nous réalisons que nous sommes véritablement exempt de tout danger. En d’autres termes, quelles que soient les circonstances de la vie quotidienne auxquels nous sommes confrontés, et ce, aussi difficiles soient-elles ces dernières ne peuvent, en fait toucher que l’accessoire, l’inessentiel de notre vie. L’essentiel quant à lui invisible pour les yeux, est intouchable, inviolable, impénétrable ; il réside dans l’authenticité d’un amour que rien désormais ne peut venir entacher.
La rose que la tradition attache à HaH’aSh(YaH) est le chakra coronal. L’éveil de ce centre correspond à l’ouverture de notre conscience aux plans invisibles et plus subtil. L’éveil de ce chakra en nous, nous permet de devenir capables de nous détacher du monde, de pouvoir évoluer librement par rapport à n’importe quelle situation, aussi défavorable soit-elle. L’éveil nous offre la possibilité d’ajuster, de pouvoir nous accorder aux différentes circonstances de notre vie quotidienne, même si ces situations ne concordent pas toujours avec nos propres souhaits.
Le nom du Tarchichim HaH’aSh(YaH) est constitué d’un radical formé des lettres Hé, HeITh et ShIN contenant un mot hébreu (ShIN – HeITh –Hé) qui, prononcé shah’ah, signifie « se baisser » ou « se courber » et qui, prononcé sah’ah, signifie « nager ». Nous pouvons également former à partir des mêmes lettres, le mot h’ashah (HeITh –ShIN –Hé) signifiant « se taire » ou « s’abstenir » et le mot hasah’ah ( Hé–ShIN –HeITh –Hé) désignant l’action de faire parler. Quant à la particule YaH, elle introduit ces réalités dans une perspective divine. Pour bien saisir ce dont HaH’aSh(YaH) est porteur, nous chercherons donc à mieux comprendre le sens profond des mots que nous pouvons extraire de son radical.
Pour ce faire, commençons d’abord par analyser le mot shah’ah (ShIN – HeITh –Hé) signifiant « se baisser » ou « se courber ». Ce mot évoque évidemment un acte d’humilité. En effet, celui qui se courbe ou se baisse se fait petit, au sens propre du terme, et reconnaît son impuissance (il baisse les bras). C’est d’ailleurs en ce sens que le fidèle s’agenouille ou se prosterne devant la divinité, exprimant par ce geste son état de soumission. Or la tradition hébraïque n’y fait pas exception et le livre de l’Exode nous rapporte que le peuple
» se réjouit de ce que le Seigneur avait visité les Israélites et avait vu leur misère. Ils s’agenouillèrent et se prosternèrent. « .
– Exode IV, 31
Plus encore, en posant un geste d’humilité, nous nous opposons non seulement au sentiment de suffisance propre à celui qui est fort de lui-même, mais nous exprimons également un désir de nous identifier à l’humilité divine, une humilité qui nous portera d’ailleurs vers la gloire. À ce titre, le prophète nous apprend qu’il a
» vu le Seigneur siégeant sur un trône haut et élevé ; toute la terre était pleine de sa gloire. « .
– Isaïe VI, 1.
Qui ne mettrait pas son désir à contempler une pareille gloire ? C’est même là le sens profond de tout désir authentique et réel. Or le même prophète, à propos du même Seigneur, nous décrit une autre vision tout à fait différente. En effet, il l’a également
» vu sans éclat ni beauté ; nous l’avons pris pour un lépreux ... « .
– Isaïe LIII, 2-4.
Plus encore, pour pouvoir se tourner vers la gloire divine et la désirer, il semble bien que le passage obligé du désir, à moins de s’évader dans l’irréalité, soit cette dimension d’humilité. Ainsi, si nous désirons voir Dieu, l’Ineffable, dans Son élévation, il faudra d’abord Le voir dans son abaissement. Et cette première vision nous abaissera pour qu’ainsi abaissés, nous soyons relevés par la seconde. En effet, si nous ne refusons pas de lui ressembler en désirant son abaissement, nous lui deviendrons également semblables dans son élévation puisqu’Il ne supportera jamais de voir écarter de la communion de sa gloire celui qui a été associé à sa tribulation. Or pourquoi ce passage obligé par l’humilité du Seigneur ?
» Bernard le dit : notre désir doit être guéri de son enflure pour pouvoir alors se laisser combler. Oui, nous avons spontanément une certaine idée de la grandeur et de la gloire, laquelle nous remplit de nous-mêmes. L’orgueil n’est pas seulement ni d’abord un péché ; c’est une erreur, le choix d’une irréalité. La conversion du désir commence par cette découverte surprenante : humilité et gloire ne sont pas dans un rapport d’opposition mais de réciprocité. Le Fils de Dieu, quand il s’humilie jusqu’à vivre de notre vie et à mourir de notre mort, n’est pas moins Dieu : il ne l’est jamais davantage. Sa gloire, c’est son amour. De même, plus l’humilité est de notre part un choix délibéré, une liberté en vue d’aimer, plus nous approchons de notre authentique grandeur et de notre vérité. « .
– Émery, Pierre-Yves, Prier 15 jours avec saint Bernard ou la conversion du désir, op. cit.
Par ailleurs, le fait de se courber devant l’autre l’autorise à intervenir au sein de notre existence. C’est à ce titre que Dieu s’élève contre l’homme qui a « la nuque raide », selon l’expression consacrée. Comment en effet pourrait-Il intervenir chez celui qui s’enferme dans un sentiment d’auto-suffisance, croyant qu’il peut contribuer par lui-même à sa propre plénitude ? C’est d’ailleurs en ces termes que le prophète Néhémie s’adresse à Dieu :
» Mais nos pères s’enorgueillirent, ils raidirent leur nuque, ils n’obéirent point à tes ordres. Ils refusèrent d’obéir, oublieux des merveilles que tu avais accomplies pour eux ; ils raidirent la nuque, ils se mirent en tête de retourner en Égypte, à leur esclavage. « .
– Néhémie IX, 16-17.
De même, après avoir invoqué le nom de Dieu,
» Moïse tomba à genoux sur le sol et se prosterna, puis il dit : « Si vraiment, Seigneur, j’ai trouvé grâce à tes yeux, que mon Seigneur veuille bien aller au milieu de nous, bien que ce soit un peuple à la nuque raide, pardonne nos fautes et nos péchés et fais de nous ton héritage. ».
– Exode XXXIV, 8-9.
C’est également dans cette perspective qu’il faut comprendre le mot h’ashah (HeITh –ShIN –Hé) signifiant « se taire » ou « s’abstenir ». En effet, nous devons savoir taire toutes les prétentions de notre ego pour laisser l’autre (ou le Tout-Autre) intervenir dans notre existence. À ce titre, certaines traditions initiatiques occidentales comportant des cérémonies au cours desquelles le postulant est bâillonné, ce bâillon ne lui étant enlevé qu’après qu’il ait remporté avec succès les premières épreuves de l’initiation. Sur un plan symbolique, cette cérémonie évoque la nécessité qu’il taise en lui les mensonges de l’ego pour laisser l’autre s’exprimer. C’est aussi en ce sens qu’il faut interpréter le terme hasah’ah ( Hé–ShIN –HeITh –Hé) un autre mot extrait du radical composant le nom HaH’aSh(YaH) et désignant « l’action de faire parler ». En se taisant, on invite l’autre à parler. Ainsi, le désir de l’autre amène une attitude de silence par rapport à soi-même. Les hermétistes associent également à ce Tarchichim le désir de servir en toute humilité. Pensons, à ce titre, au passage célèbre du lavement des pieds :
» Sachant que le Père lui avait tout remis entre les mains et qu’il était venu de Dieu et qu’il s’en allait vers Dieu, il [le Christ] se lève de table, dépose ses vêtements et, prenant un linge, il s’en ceignit. Puis il met de l’eau dans un bassin et il commença à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge dont il était ceint. […] Quand il leur eut lavé les pieds, qu’il eut repris ses vêtements et se fut remis à table, il leur dit :
« Comprenez-vous ce que je vous ai fait ?
Vous m’appelez Maître et Seigneur, et vous dites bien car je le suis. Si donc je vous ai lavé les pieds, moi le Seigneur et le Maître, vous aussi vous devez vous lavez les pieds les uns aux autres. Car c’est un exemple que je vous ai donné, pour que vous fassiez, vous aussi, comme moi j’ai fait pour vous. « .
– Jean XIII, 3-5; 12-15.
Le serviteur, à l’image de son maître le Christ, devient alors un poisson. En effet, il nage dès lors dans la grâce. Or l‘image du poisson n’est pas fortuite car cet animal a toujours évoqué celui qui, pénétré par la grâce divine (l’homme nouveau), vit désormais, ainsi régénéré et glorifié, dans la grâce de Dieu.
À ce titre, les Pères de l’Église comparaient d’ailleurs volontiers les nouveaux baptisés à des poissons naissant dans l’eau du baptistère (dénommé piscina, un terme signifiant littéralement « l’étang aux poissons »). Ceci fait curieusement écho à ce terme hébreu sah’ah (ShIN – HeITh –Hé) extrait du radical constituant le nom HaH’aSh(YaH), qui signifie « nager ». En effet, qu’est ce qui nage si ce n’est d’abord le poisson ?
Considérant ce qui précède, nous pouvons en déduire que HaH’aSh(YaH) nous invite à nous libérer de cette tendance à croire que nous pouvons combler par nous-mêmes notre désir de plénitude, permettant dès lors à notre nature profonde de nous prodiguer les ressources dont elle est dépositaire. Sur un plan plus mystique, ce Tarchichim nous invite également à servir, ce qui nous fait participer dès lors à la vocation même de Dieu, de l’Ineffable qui se présente comme le serviteur de tous.
Nous savons que les Tarchichim sont étroitement associées à l’archétype de Vénus. La tradition hermétique attribue donc au Tarchichim HaH’aSh(YaH) (au même titre qu’à toutes les Tarchichim) un enjeu essentiellement vénusien consistant à stimuler chez nous l’expression d’un désir de plénitude (celui-ci s’épanouissant le plus souvent à travers une quête de beauté et d’harmonie).
Plus encore, selon les hermétistes, HaH’aSh(YaH) est également associé à Jupiter. Son rayonnement sera donc coloré d’une tonique mineure jupitérienne. Or cette planète évoque fondamentalement une aptitude à nous ouvrir avec confiance à la grâce divine (qui illumine, vivifie et épanouit chaque réalité jusqu’à la plénitude de sa mesure). Le principal enjeu de ce Tarchichim consiste donc à nous stimuler afin que nous canalisions notre désir de telle sorte que nous puissions susciter une véritable ouverture à la grâce divine.
Dans cette perspective, il nous stimule tout particulièrement pour que nous exprimions notre désir avec beaucoup de confiance, de foi et d’optimisme, étant spontanément convaincus de recevoir, d’une manière ou d’une autre, satisfaction à notre demande. Il éveille en ce sens un vif sentiment de richesse et de plénitude intérieure.
De même, HaH’aSh(YaH) nous aide à lutter contre toute tendance à exprimer nos désirs avec grandiloquence (avec une certaine folie des grandeurs). En ce sens, il nous assiste pour combattre l’irréalisme dans la formulation de nos désirs (présumant un peu trop vite que rien ne peut nous être refusé) ou une certaine tendance à croire que les autres n’existent que pour nous combler et nous satisfaire.
Considérant ses toniques planétaires, ce Tarchichim est invoquée pour exalter, au niveau de notre thème astrologique, tout aspect consonant entre Vénus et Jupiter ou pour harmoniser tout aspect dissonant entre ces deux planètes.
Pour illustrer l’influence du Tarchichim HaH’aSh(YaH) sur la conscience humaine, nous avons choisi l’histoire d’Eros et de Psyché que nous rapporte la mythologie grecque.
En effet, cette histoire illustre bien cette nécessité de faire confiance au sein d’une relation amoureuse que le Tarchichim HaH’aSh(YaH) éveille et développe en nous.
Ainsi, cette histoire rapporte que Psyché eut comme époux Eros, le dieu de l’amour, mais elle ne l’avait jamais vu.
En effet, celui-ci disparaissait le jour et ne la rejoignait dans la chambre conjugale que la nuit venue, dans l’obscurité la plus profonde. Confiant cette étrange attitude à ses deux sœurs, ces dernières semèrent en son cœur l’effroi en lui déclarant que son mari pouvait bien être un horrible serpent.
Psyché fut dès lors déchirée par le doute, ne sachant que faire. Une nuit cependant, n’y tenant plus, elle rassembla son courage et alluma la lampe. Elle regarda alors celui qui était étendu sous ses yeux. La lueur n’éclairait pas un monstre mais la plus belle des créatures. Envahie par la honte de sa folie et de son manque de confiance, Psyché trembla. Et tandis qu’elle restait penchée sur son époux, une goutte d’huile brûlante tomba de la lampe sur l’épaule du bel endormi.
Il s’éveilla en sursaut ; il vit la lumière et la déloyauté de Psyché ; et sans un mot, il s’enfuit. Elle courut derrière lui dans la nuit. Elle ne pouvait le voir mais elle entendait sa voix qui lui parlait. Il lui apprit son nom et tristement il la quitta sur ces derniers mots “l’amour ne peut vivre sans confiance.“. Le dieu de l’amour, pensa-t-elle, il était mon époux, et moi, misérable, j’ai manqué de foi en sa parole.
Le rayon SPIRITUEL de HaH’aSh(YaH) nous permet d’éviter de sombrer dans le doute et la méfiance, ces perversions malheureuses, contraires à toute relation amoureuse authentique, et qui pourtant étreignirent le cœur de la pauvre Psyché. Eros l’avait pourtant avertie que si elle le voyait, elle le perdrait à jamais. Eros incarne cet amour qui, pour être parfait, exige un abandon aveugle à l’inconnu…, une démission de la suprématie de la raison face aux valeurs du cœur, une confiance en l’autre le plus grand possible. Malheureusement Psyché se laissa influencer par ses deux sœurs (le doute et la curiosité) et, par le manque de confiance dont elle fit preuve vis-à-vis de son amant, elle brisa l’amour qu’Eros lui portait.
Le Tarchichim HaH’aSh(YaH) nous amène à considérer le monde comme une mine dont les ressources peuvent combler tous nos désirs si nous savons reconnaître que nous en avons besoin (ne nous enfermant plus dans un sentiment d’auto-suffisance) et si nous nous y ouvrons pleinement en les accueillant en toute humilité. Ainsi, il nous amène à cultiver une attitude profondément jouissive (dans le sens noble et élevé du terme).
Par ailleurs, HaH’aSh(YaH nous aide à lutter contre toutes attentes démesurées ne correspondant pas à nos véritables besoins mais à ceux d’un ego insatiable et avide. Ainsi, il contribue à nous protéger contre diverses tendances à ambitionner exagérément sur la capacité de notre milieu à combler nos besoins.
Le Tarchichim HaH’aSh(YaH) nous conduit à exprimer à notre partenaire les désirs qui nous animent de manière à la fois enthousiaste et démonstrative, incitant ce dernier à y répondre avec largesse (n’hésitant pas à le combler de faveurs, de douceur et de gentillesse). En ce sens, il n’est pas étonnant que ce Tarchichim nous conduise à percevoir d’abord autrui comme un ami bienveillant.
Par ailleurs, HaH’aSh(YaH) nous protège aussi contre toute tendance à exprimer une nature passionnelle non maîtrisée cherchant par tous les moyens à recevoir de l’autre ses faveurs (croyant trop spontanément qu’il est d’abord là pour satisfaire nos propres désirs). En ce sens, il nous amène à nous mettre davantage au service de l’autre sans nous placer dans une attitude d’attente à son égard, nous imaginant que tout nous est dû et que ce dernier ne saurait rien nous refuser.
Le Tarchichim HaH’aSh(YaH) nous invite à reconnaître notre impuissance à accéder par nous-mêmes à l’état de plénitude auquel nous aspirons et à nous tourner vers Dieu, l’Ineffable, pour nous présenter à Lui dans l’humilité du serviteur, lui exprimant nos désirs les plus profonds avec beaucoup de confiance et de foi, étant spontanément convaincu de recevoir, d’une manière ou d’une autre, satisfaction à notre demande.
De même, HaH’aSh(YaH) nous protège contre toute tendance à substituer à nos désirs fondamentaux (ceux qui s’inscrivent dans une dynamique de communion à l’Ineffable) des désirs purement égoïques. En effet, nous nous fermons alors non seulement à la providence, mais nous pouvons également nous ouvrir de manière trop confiante à des puissances ténébreuses (relevant de la Matrice du monde) qui risquent de nous assujettir à leur emprise (répondant à nos besoins pour mieux nous aliéner et nous posséder par la suite).
SUR LE PLAN PHYSIQUE
Pierre calmante du psychisme, elle atténue toutes les tensions qu’elles soient d’origine nerveuse ou musculaire. Modérateur du système nerveux, elle pondère les excès émotionnels, réduit les angoisses et apaise les états de tristesse. Stimulatrice des facultés d’expression et de communication, elle facilite la gestion des pensées plus claires, mieux ordonnées et harmonieuses de ceux qui la portent en pendentif ou en bracelet.
Son action efficace et positive sur l’attention et la mémoire font d’elle un atout pour les étudiants tout au long de leur cursus d’apprentissage et en période d’examen. Utilisée sur les centres énergétiques du corps
Organes et fonctions en correspondance : l’intestin, l’estomac, la digestion, le système nerveux, métabolisme du calcium, chakra mineur de la Rate. Utilisée en accompagnement des troubles dus au stress, à l’anxiété, l’hypersensibilité.
SUR LE PLAN EMOTIONNEL ET MENTAL
La Magnésite ou Howlite est stabilisante : cohérence des sentiments, sens des responsabilités, dissipation des craintes.
SUR LE PLAN SPIRITUEL
La Magnésite aide à la compréhension profonde des phénomènes. Favorise les « Flash intuitifs ».
Fabriqué sous son influence
NOUS PERMET DE PROFITER DES FORCES DE LA NATURE
Psaume 104 verset 31 :
Que la gloire de l’Eternel dure à jamais !
Que le Seigneur se réjouisse de ses œuvres !
La composition de l’encens du Tarchichim HaH’aSh(YaH) est déterminée par ses correspondances astrologiques. D’un point de vue technique, notons en outre que cette composition, qui est utilisée, pour l’exercice d’harmonisation varie selon Tarchichim.
Divin HaH’aSh(YaH),
Qui assistez Celui qui demeure caché,
Apprenez-moi à faire confiance à l’autre
Afin que cette disposition
M’amène finalement à faire confiance à Dieu.
Je saurai alors qu’en toutes circonstances,
Si difficiles soient-elles,
Mes ennemis ne peuvent atteindre
Que ce qui est accessoire et inessentiel.
Ô puissant HaH’aSh(YaH),
Conférez-moi également l’auréole de la Vierge
Afin que je puisse distribuer
Généreusement, librement et gratuitement,
Toutes les grâces de l’amour que j’ai reçues,
Faites enfin,
Ô HaH’aSh(YaH),
Qui vous réjouissez dans la lumière,
Que je puisse me détacher du monde
Afin d’être capable d’évoluer librement,
Quel que soit l’obstacle,
Sachant toujours m’appuyer pleinement sur Dieu.
Qu’il en soit ainsi Ici est maintenant
Pour le plus grand bien de tous.
Et pour célébrer la Vie.